jeudi 16 septembre 2010

Police Truck

Voilà une petite reprise que j'ai fais à l'issu d'un après-midi un peu plat. J'ai "emprunté" la piste instrumentale. Il s'agit des vrais instruments du groupe. La voix est de moi par contre, le seul "instrument" que je sais pas trop mal utiliser. Oui, c'est un karaoké quoi...

mardi 14 septembre 2010

Quand je serais grand, je serais Rivers Cuomo.




Mon amour pour Weezer, comme la plupart de mes groupes préférés est né quand j'étais tout petit, dans la collection de cd de ma mère qui a l'album bleu depuis aussi longtemps que je me souvienne. Il y a pas longtemps, je parlais de "memories" , le nouveau single de ce groupe qui a changé ma vie. J'étais très dubitatif, et pour la première fois, une chanson d'eux ne m'accrochais pas dés la première note !



Je lui ai accordé le bénéfice du doute, et j'ai bien fais. Car, peu de temps après j'ai vu cette vidéo.




Je me suis mis à écouter h24 leurs chanson. Quelle n'a pas été ma surprise quand j'ai vu mes idoles dans les vidéos de mes star youtubiennes préférée ! En effet, après avoir invité les stars de youtube dans leur clip pour "Pork and Beans" issu de leur avant-avant-dernier album, ils ont l'idée géniale de faire l'inverse, et ça fait plaisir de voir des stars promouvoir les petites gens avec intelligence une fois de plus.




Et ce n'est qu'une des idées géniales de promotion qu'on eu Weezer pour parler à leur fans.



Le groupe est maintenant libre de leur label de musique, et donc de beaucoup de bloquages envers ces derniers. Longue vie à Weezer donc, et on leur souhaite beaucoup de nouveaux albums !

samedi 4 septembre 2010

The Football Factory




J'ai mal. Et ce n'est pas dû au fait que je dois utiliser mon cerveau pour trouver une introduction à cet article, mais bien parce que je viens de me prendre une baffe cinématographique. La claque a un nom, elle s'appelle The Football Factory. Il s'agit d'un film de production britanique, du réalisateur Nick Love, aussi réalisateur de The Business (2005) et The firm (2009).

L'histoire est raconté par Tommy Johnson, un hooligan, supporter du club de foot de Chelsea. Tommy et ses amis traitent la vie de façon légère, préférant se concentrer sur les différents délits qui ponctuent leurs journées. Mais depuis un certain temps, Tommy est en proie à des rêves macabres. Sont-ils prémonitoire ou est ce que Tommy perd tout simplement les pédales ?

Je pense qu'il est maintenant clair que j'aime les britanniques. J'aime leur musique, leurs films, leurs acteurs, leurs séries, mais avant tout j'aime leur humour. The Football Factory mélange de l'humour de films de gangsters, de l'humour potache, avec une pointe de cynisme, qui fait penser à un de mes films cultes, Fight Club. Comme dans ce dernier, les personnages sont en marge de la société dites "normale", dans les deux, le personnage est tiraillé psychologiquement, et surtout, comme dans le chef-d'oeuvre de David Fincher, les personnages cherchent désespérément une bataille, un conflit pour donner un sens à leur vie. Les comparaisons ne s'arrêtent pas là, mais si je vous laisse le plaisir de les découvrir vous-même.

The Football Factory est violent, sale, mais surtout, il a un style bien définit dans lequel je suis comme un poisson dans l'eau. Je vous conseille vivement ce film, à condition que vous soyez en age de visionner ce genre de film qui, je le rappelle, est déconseillé aux moins de seize ans.