mardi 30 juillet 2013
samedi 27 juillet 2013
FaPpiNg 2 PrOn
Bonjour à vous, magnifiques créatures qui me lisez.
Aujourd'hui, comme promis, je vais conclure ma "Trilogie" sur le sexe en parlant d'un sujet qui est tabou, je le pense à tort, la pornographie.
Hem. Alors c'est dur de savoir où commencer tellement le sujet est vaste, mais je vais essayer du mieux que je peux.
Alors d'abord, on va commencer par faire fi des clichés, les hommes et les femmes se masturbent. C'est un fait, nul besoin de vous voiler la face, on est juste au XXIe siècle, il est temps de se réveiller. Ne commencez même pas avec les classiques "les femmes n'y pensent pas aussi souvent que les hommes" ou "les femmes ne fréquentent pas des sites porno" ou encore "passe moi le sel s'il te plait"...bon okay, peut-être pas le dernier point.
La vérité est qu'au niveau de la libido, nous sommes tous égaux. On a beau essayer de créer la différence en se basant sur des croyances d'un autre âge, le résultat est le même. Bon, on peut quand-même dire que chacun a sa propre sexualité, et que les habitudes et les manies changent, mais le noyau du sujet reste le même: tout le monde se touche. Oui je sais que c'est crû et droit au but, bienvenue à l'âge adulte mon petit.
Pour les rituels, chacun a son petit truc. La crème, la musique d'ambiance, en passant par la mythique chaussette, que je dois avouer je ne suis pas sûr de saisir complètement. Se masturber peut être une bonne façon de se libérer du stress, de se vider l'esprit (entre-autres), de se remonter le moral (ou l'inverse dans certain cas). Mais surtout, le fond de la chose est que c'est une libération, une prise en main (haha) personnelle, bien loin des besoins de votre (vos) partenaire(s). Un petit coup de paluche et l'affaire est réglée. Le fast-food du sexe en quelque sorte.
Après il y a le point du "support", à savoir les "accessoires" qui vont vous amener...hum, et bien là où vous voulez aller. Encore une fois les choix sont multiples, surtout maintenant. Là où nos parents devaient redoubler d'ingéniosité pour trouver de l'érotisme dans le moindre magazine de lingerie, nous avons internet, source inépuisable d'érotisme, pornographie et compagnie. Il y en a pour tous les goûts. Vidéos, photos, dessins, ce n'est pas la variété qui manque.
Alors commençons par les vidéos. Avant, il y avait les films porno. Alors si quelqu'un se souviens de cette glorieuse époque, il pourra peut-être me dire où l'on pouvait se procurer ceux-ci pour la vente, je n'en sais fichtrement rien, et j'imagine que les maisons de presse ne sont pas LA source obligatoire, si ?
Enfin toujours est-il qu'il est fini le temps où on allait louer son petit film porno à Video Fut*biiiiip*, tout simplement car les vidéo-stores en question sont une espèce en voie de disparition.
Donc maintenant, la source principale est devenu l'internet. Et ce n'est pas les sites qui manquent, en effet, près de 12% des sites internet sont pornographiques. Mais la vraie révolution du sexe artificiel, c'est le streaming. Redtube, Pornhub, Brazzer, ce n'est pas le choix qui manque.
Personnellement je préfère les vidéos amateur, car dés que je sens du faux de manière trop évidente, ça me casse tout. Faux seins ? Out. L'actrice hurle comme Amélie Mauresmo sur le court ? Out. La vidéo tiens plus de l'humiliation que du porno ? Out.
J'aime la fraîcheur, la spontanéité et le vrai. Bon, je comprends que c'est une exigence naïve, mais je demande pas non plus que ça ressemble trop à ce qui se passe vraiment sous nos couvertures (ou dessus). Je veux juste autre chose que ce que les américains appellent le "Gonzo Porn", qui, pour les connaisseurs, n'a rien à voir avec Hunter H Thompson. Il s'agit de "films" qui zappent les scénarios loufoques et passent directement à l'acte. Aussi con que ça puisse paraître, j'aime les histoires à dormir debout habituelles, le plombier, le pizzaïolo...tout simplement car j'aime qu'il y ai un contexte.
Pour ce qu'il y est des photos, j'aime la simplicité et l'érotisme, je refuse catégoriquement la pornographie en photo. J'aime faire travailler mon imagination et la pornographie en photo me vole ce plaisir en ne laissant rien à imaginer.
Enfin, pour le porno dessiné, je suis un peu réticent à cet égard, même si je me laisse tenter des fois. J'aime les femmes réelles, même si au final la pornographie est artificielle, je pense qu'il est important de garder une part de réel à laquelle s'accrocher, pour ne pas sombrer dans le côté sombre du fantasme.
Voilà, je vous ai fait un point sur ma vision de la pornographie, et j'aimerais vraiment que nous soyons tous totalement honnêtes avec l'utilisation que nous faisons avec notre main droite (ou la gauche, je suis pas raciste), tous sexes confondu, car la première façon de dédramatiser quoi que ce soit, c'est d'en parler le plus possible.
N'hésitez pas à faire part de vos avis, je les publierais sur ce blog, en gardant votre anonymat si vous le souhaitez.
Aujourd'hui, comme promis, je vais conclure ma "Trilogie" sur le sexe en parlant d'un sujet qui est tabou, je le pense à tort, la pornographie.
Hem. Alors c'est dur de savoir où commencer tellement le sujet est vaste, mais je vais essayer du mieux que je peux.
Alors d'abord, on va commencer par faire fi des clichés, les hommes et les femmes se masturbent. C'est un fait, nul besoin de vous voiler la face, on est juste au XXIe siècle, il est temps de se réveiller. Ne commencez même pas avec les classiques "les femmes n'y pensent pas aussi souvent que les hommes" ou "les femmes ne fréquentent pas des sites porno" ou encore "passe moi le sel s'il te plait"...bon okay, peut-être pas le dernier point.
La vérité est qu'au niveau de la libido, nous sommes tous égaux. On a beau essayer de créer la différence en se basant sur des croyances d'un autre âge, le résultat est le même. Bon, on peut quand-même dire que chacun a sa propre sexualité, et que les habitudes et les manies changent, mais le noyau du sujet reste le même: tout le monde se touche. Oui je sais que c'est crû et droit au but, bienvenue à l'âge adulte mon petit.
Pour les rituels, chacun a son petit truc. La crème, la musique d'ambiance, en passant par la mythique chaussette, que je dois avouer je ne suis pas sûr de saisir complètement. Se masturber peut être une bonne façon de se libérer du stress, de se vider l'esprit (entre-autres), de se remonter le moral (ou l'inverse dans certain cas). Mais surtout, le fond de la chose est que c'est une libération, une prise en main (haha) personnelle, bien loin des besoins de votre (vos) partenaire(s). Un petit coup de paluche et l'affaire est réglée. Le fast-food du sexe en quelque sorte.
Après il y a le point du "support", à savoir les "accessoires" qui vont vous amener...hum, et bien là où vous voulez aller. Encore une fois les choix sont multiples, surtout maintenant. Là où nos parents devaient redoubler d'ingéniosité pour trouver de l'érotisme dans le moindre magazine de lingerie, nous avons internet, source inépuisable d'érotisme, pornographie et compagnie. Il y en a pour tous les goûts. Vidéos, photos, dessins, ce n'est pas la variété qui manque.
Alors commençons par les vidéos. Avant, il y avait les films porno. Alors si quelqu'un se souviens de cette glorieuse époque, il pourra peut-être me dire où l'on pouvait se procurer ceux-ci pour la vente, je n'en sais fichtrement rien, et j'imagine que les maisons de presse ne sont pas LA source obligatoire, si ?
Enfin toujours est-il qu'il est fini le temps où on allait louer son petit film porno à Video Fut*biiiiip*, tout simplement car les vidéo-stores en question sont une espèce en voie de disparition.
Donc maintenant, la source principale est devenu l'internet. Et ce n'est pas les sites qui manquent, en effet, près de 12% des sites internet sont pornographiques. Mais la vraie révolution du sexe artificiel, c'est le streaming. Redtube, Pornhub, Brazzer, ce n'est pas le choix qui manque.
Personnellement je préfère les vidéos amateur, car dés que je sens du faux de manière trop évidente, ça me casse tout. Faux seins ? Out. L'actrice hurle comme Amélie Mauresmo sur le court ? Out. La vidéo tiens plus de l'humiliation que du porno ? Out.
Mon pêché mignon érotique "Beautiful Agony", un seul cadrage, en plan poitrine, d'une femme se faisant plaisir. |
J'aime la fraîcheur, la spontanéité et le vrai. Bon, je comprends que c'est une exigence naïve, mais je demande pas non plus que ça ressemble trop à ce qui se passe vraiment sous nos couvertures (ou dessus). Je veux juste autre chose que ce que les américains appellent le "Gonzo Porn", qui, pour les connaisseurs, n'a rien à voir avec Hunter H Thompson. Il s'agit de "films" qui zappent les scénarios loufoques et passent directement à l'acte. Aussi con que ça puisse paraître, j'aime les histoires à dormir debout habituelles, le plombier, le pizzaïolo...tout simplement car j'aime qu'il y ai un contexte.
Pour ce qu'il y est des photos, j'aime la simplicité et l'érotisme, je refuse catégoriquement la pornographie en photo. J'aime faire travailler mon imagination et la pornographie en photo me vole ce plaisir en ne laissant rien à imaginer.
Enfin, pour le porno dessiné, je suis un peu réticent à cet égard, même si je me laisse tenter des fois. J'aime les femmes réelles, même si au final la pornographie est artificielle, je pense qu'il est important de garder une part de réel à laquelle s'accrocher, pour ne pas sombrer dans le côté sombre du fantasme.
Voilà, je vous ai fait un point sur ma vision de la pornographie, et j'aimerais vraiment que nous soyons tous totalement honnêtes avec l'utilisation que nous faisons avec notre main droite (ou la gauche, je suis pas raciste), tous sexes confondu, car la première façon de dédramatiser quoi que ce soit, c'est d'en parler le plus possible.
N'hésitez pas à faire part de vos avis, je les publierais sur ce blog, en gardant votre anonymat si vous le souhaitez.
mardi 23 juillet 2013
Utopia
Bien le bonsoir, mes charmants lecteurs, aujourd'hui je vais parler d'une série qui déchire pas mal, j'ai nommé Utopia.
Utopia est une série british de la chaine Channel 4, bien connue pour avoir accueillit les séries Skins et Misfits entre autres. Elle a commencé sa diffusion le 15 janvier 2013, et compte donc une seule saison pour le moment.
The Utopia Experiment est un roman graphique, format courant dans les pays anglophone pour désigner une bande-dessinée de qualité légèrement supérieure à la moyenne. Au début du récit, un seul volume du roman est sorti, et a généré un culte, auquel appartiennent la plupart des personnages principaux.
Certains sont inscrit sur un forum d'échange dédié uniquement au fameux roman, et s'échangent régulièrement des messages à son propos, mais quand l'un d'entre-eux met les mains sur le manuscrit du volume deux qui est totalement inédit, ce qui était un simple hobby se transforme vite en catastrophe.
Un à un, ils se font pourchasser sans relâche par un homme froid et violent à la recherche d'une mystérieuse "Jessica Hyde", et ils se rendent compte que leur bande-dessinée préféré est loin d'être un simple divertissement.
Je m'arrête là pour l'explication de l'histoire, non pas pour vous éviter les spoils, car elle est assez secondaire. En effet, le scénario est excellent, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis, je me suis rendu compte qu'en enlevant cet aspect du récit, le reste tiens encore sur des bases solides. Par exemple, la bande-son à elle seule vaut le détours, tant elle déborde d'inventivité et d'originalité.
Cristobal Tapia de Veer, compositeur de génie, est à l'origine de chaque son de la série. Un régal.
Tous ces moyens mis en oeuvre avec précision et amour de l'art font d'Utopia une série qui doit impérativement être vue au moins une fois. En effet, l'attrait que j'éprouve pour cette série est avant tout une question de goût, parce que le parti-pris me parle vraiment, mais qu'on soit réceptif à celui-ci ou non, toujours est-il qu'il est à un niveau qui dépasse largement la plupart des productions actuelle, aussi réussies soient-elles.
C'est pourquoi je vous conseille vivement de regarder cette série au plus vite, vous ne serez sûrement pas déçus, mais surtout, vous n'en ressortirez pas indemne, et ça, c'est garanti.
Utopia est une série british de la chaine Channel 4, bien connue pour avoir accueillit les séries Skins et Misfits entre autres. Elle a commencé sa diffusion le 15 janvier 2013, et compte donc une seule saison pour le moment.
The Utopia Experiment est un roman graphique, format courant dans les pays anglophone pour désigner une bande-dessinée de qualité légèrement supérieure à la moyenne. Au début du récit, un seul volume du roman est sorti, et a généré un culte, auquel appartiennent la plupart des personnages principaux.
Certains sont inscrit sur un forum d'échange dédié uniquement au fameux roman, et s'échangent régulièrement des messages à son propos, mais quand l'un d'entre-eux met les mains sur le manuscrit du volume deux qui est totalement inédit, ce qui était un simple hobby se transforme vite en catastrophe.
Un à un, ils se font pourchasser sans relâche par un homme froid et violent à la recherche d'une mystérieuse "Jessica Hyde", et ils se rendent compte que leur bande-dessinée préféré est loin d'être un simple divertissement.
Je m'arrête là pour l'explication de l'histoire, non pas pour vous éviter les spoils, car elle est assez secondaire. En effet, le scénario est excellent, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis, je me suis rendu compte qu'en enlevant cet aspect du récit, le reste tiens encore sur des bases solides. Par exemple, la bande-son à elle seule vaut le détours, tant elle déborde d'inventivité et d'originalité.
Cristobal Tapia de Veer, compositeur de génie, est à l'origine de chaque son de la série. Un régal.
Neil Maskell, en grande forme dans le rôle du dérangeant et dangereux antagoniste. |
Ensuite, le jeu d'acteur, qui est loin d'être à la ramasse par rapport au reste, avec un casting solide, notamment Neil Maskell, un acteur que j'apprécie beaucoup et qui a joué entre-autre dans "The Football Factory" dont j'ai déjà parlé sur ce blog.
(article ici)
(article ici)
On retrouve aussi Nathan Stewart-Jarret, Curtis dans Misfits, qui arrive enfin à révéler son talent, loin de la sous-exploitation qu'il a subi dans la série sus-cité. Les autres acteurs sont pour la plupart inconnu pour moi, mais n'en sont pas pour autant moins bons, mes deux coups de cœur étant : le personnage Wilson Wilson, qui arrive à être aussi drôle que touchant, et surtout Grant, qui malgré son jeune âge est un acteur au talent qui crève l'écran. Le plus fort avec le personnage c'est qu'en plus, il est extrêmement bien mis en avant et exploité, chose beaucoup trop rare pour un enfant dans une série. Il a ce genre de réaction...comment dire.
Vous savez quand vous regardez un thriller/film d'horreur/film d'action, et que la situation d'un personnage semble assez peu avantageuse. Vous ne vous êtes jamais surpris à hurler à la télé/votre ordinateur "Mais réagit bon-sang, au lieu de rester sur place, tu vas te faire buter !!!" ? Et bien Grant est le personnage qui brise cette imbécillité presque obligatoire des protagonistes de récits en général, il réagit d'instinct, il a un comportement crédible.
Vous savez quand vous regardez un thriller/film d'horreur/film d'action, et que la situation d'un personnage semble assez peu avantageuse. Vous ne vous êtes jamais surpris à hurler à la télé/votre ordinateur "Mais réagit bon-sang, au lieu de rester sur place, tu vas te faire buter !!!" ? Et bien Grant est le personnage qui brise cette imbécillité presque obligatoire des protagonistes de récits en général, il réagit d'instinct, il a un comportement crédible.
Les acteurs sont impliqués, bien dirigés, mais surtout charismatiques. |
En effet, ce qui marque, c'est cette crédibilité générale des situations, malgré la mise en scène qui tient plus du rêve que du thriller haletant, chaque dialogue est un plaisir, mis en avant par une ambiance en béton armé.
Graphiquement, préparez-vous à en prendre plein les mirettes. On dirait que chaque plan a été peint à la main tant la beauté des couleurs est frappante. Les tons se situent souvent dans des couleurs très vive, mais gardent toujours une cohérence et surtout un univers particulier, si bien que je me suis surpris à mettre pause plusieurs fois, uniquement pour regarder les plans plus en détails.
Mais ce n'est pas tout, Utopia nous diffuse un monde vivant, ou chaque détail n'est peut-être pas là où nos yeux se poseront en premier, à l'image de la scène d'intro, où un des personnages se fait assassiner brutalement, loin dans l'arrière-plan.
Tout est calculé pour nous mettre dans l'ambiance et faire passer toutes les informations nécessaire à la compréhension du récit.
Gardez les yeux grands ouverts, ou vous passerez à côté de détails importants... |
Tous ces moyens mis en oeuvre avec précision et amour de l'art font d'Utopia une série qui doit impérativement être vue au moins une fois. En effet, l'attrait que j'éprouve pour cette série est avant tout une question de goût, parce que le parti-pris me parle vraiment, mais qu'on soit réceptif à celui-ci ou non, toujours est-il qu'il est à un niveau qui dépasse largement la plupart des productions actuelle, aussi réussies soient-elles.
C'est pourquoi je vous conseille vivement de regarder cette série au plus vite, vous ne serez sûrement pas déçus, mais surtout, vous n'en ressortirez pas indemne, et ça, c'est garanti.
dimanche 21 juillet 2013
Queens of the Stone Age -...Like Clockwork
....And we're back.
Alors bon, pour commencer je vais m'excuser une fois de plus auprès des trois personnes qui lisent mes inepties quand "Plus belle la vie" n'est pas diffusé. En effet je fais mentir ma bannière qui aurait d'ailleurs bien besoin d'un coup de remise à neuf. Cela fait un moment que je ne poste plus grand chose. Mais bon techniquement si je n'ai pas mis en ligne en juin, le tant attendu album des maîtres Queens of the Stone Age, lui, est sorti. Le 3 pour être exact. Et laissez-moi vous dire que c'est une bombe.
J'adore QOTSA. Comme j'aime le répéter, 13 ans de vie commune et toujours l'amour parfait. Pourtant, mon premier contact avec le dernier album de ce groupe mythique m'a laissé une sensation assez mitigée
D'un côté le travail de composition était intact, toujours au top, avec des paroles puissantes et une rythmique endiablée, de l'autre, la production me chiffonnait, avec la voix de Josh Homme, le leader charismatique, beaucoup trop présente, des invités à peines perceptibles et des "backing voices" guère mieux gérée. Et puis j'ai acheté l'album, en bon fanboy que je suis, que voulez-vous, je ne peux me permettre de laisser un trou dans ma collection voyons.
J'ai eu un peu peur en ouvrant la boite, quand j'ai voulu admirer la jaquette/livret qui d'habitude est aussi hilarante que graphiquement recherchée. En effet, j'ai découvert avec amertume que la couverture était un carton carré simple, une seule page ou ne figure même pas le nom des invités.
Et pourtant, dés la première écoute du CD, le ressenti était totalement différent. Je ne vais pas m'étendre sur les dégâts du format mp3 sur la qualité sonore, et sur nos oreilles soit dit en passant, mais les musiques se sont "révélés" sans la compression de ce que j'avais écouté auparavant.
Et autant vous dire que je suis très content.
Les guest stars s'entendent plus facilement en format Wave, ou Flac que je vous conseille aussi pour l'intégralité de la musique en général. Et pour le connaisseur, c'est un petit festival. Nick Oliveri, ex-bassiste du groupe en backing voice sur "If I Had A Tail" et "Fairweather Friends", le grand et ravagé Mark Lanegan, ancien frontman des Screaming Trees qui grogne sont blues sur "If I Had A Tail", Dave Grohl qui effectue son grand retour dans l'équipe, en contribuant la batterie studio sur la plupart de mes chansons préférées de cet album tel que "Smooth Sailing", le génial Trent Reznor qui apporte sa patte si spéciale à la mixture étrange de "Kalopsia" et "Fairweather Friends".
Et encore je vous dis juste une partie, il y a aussi entre autres Sir Elton John, Brody Dalle, l'épouse de Josh, Alex Turner des Arctic Monkeys, Jake Shears des Scissor Sisters, et j'en passe et des meilleurs.
Comme je l'ai dit plus tôt la composition est au moins au niveau de ce à quoi le groupe nous a habitué au fur et à mesure des années, tout en continuant d'expérimenter, toujours changer en gardant leur identité, à l'image de "I Sat by The Ocean" qui réussit le mix parfait entre old-school Queens et new-school Queens.
Après il évident qu'ils y a quelques moments de chute d'intérêt, des moments moins bons que d'autres, mais je pense qu'au bout de 6 albums tous plus bons les uns que les autres, on peut leur pardonner quelques errances qui ne sabotent pas du tout le plaisir d'écoute. Personnellement, la dernière piste de l'album me remplit un peu d'un ennuis profond, mais après ça ne concerne que moi.
Toujours est-il que le dernier album des Queens Of The Stone Age est un très bon achat à faire, je vous le conseille si vous ne l'avez pas déjà acheté, il est quand-même sorti il y a presque deux mois. Et surtout, je vous en supplie, à genoux, faites-moi plaisir et achetez-le en disque, pas sur Itunes, s'il-vous-plait.
Alors bon, pour commencer je vais m'excuser une fois de plus auprès des trois personnes qui lisent mes inepties quand "Plus belle la vie" n'est pas diffusé. En effet je fais mentir ma bannière qui aurait d'ailleurs bien besoin d'un coup de remise à neuf. Cela fait un moment que je ne poste plus grand chose. Mais bon techniquement si je n'ai pas mis en ligne en juin, le tant attendu album des maîtres Queens of the Stone Age, lui, est sorti. Le 3 pour être exact. Et laissez-moi vous dire que c'est une bombe.
J'adore QOTSA. Comme j'aime le répéter, 13 ans de vie commune et toujours l'amour parfait. Pourtant, mon premier contact avec le dernier album de ce groupe mythique m'a laissé une sensation assez mitigée
D'un côté le travail de composition était intact, toujours au top, avec des paroles puissantes et une rythmique endiablée, de l'autre, la production me chiffonnait, avec la voix de Josh Homme, le leader charismatique, beaucoup trop présente, des invités à peines perceptibles et des "backing voices" guère mieux gérée. Et puis j'ai acheté l'album, en bon fanboy que je suis, que voulez-vous, je ne peux me permettre de laisser un trou dans ma collection voyons.
J'ai eu un peu peur en ouvrant la boite, quand j'ai voulu admirer la jaquette/livret qui d'habitude est aussi hilarante que graphiquement recherchée. En effet, j'ai découvert avec amertume que la couverture était un carton carré simple, une seule page ou ne figure même pas le nom des invités.
Et pourtant, dés la première écoute du CD, le ressenti était totalement différent. Je ne vais pas m'étendre sur les dégâts du format mp3 sur la qualité sonore, et sur nos oreilles soit dit en passant, mais les musiques se sont "révélés" sans la compression de ce que j'avais écouté auparavant.
Et autant vous dire que je suis très content.
Cet album est une bombe. Et je dis ça en partie parce que ce groupe a mon allégeance éternelle, mais pas seulement. Il suffit d'écouter les guitares de "I Sat By The Ocean", la rythmique épique de "My God Is The Sun" ou le solo déjà mythique de "Smooth Sailing" pour s'en rendre compte. .
Josh Homme et Dave Grohl |
Et encore je vous dis juste une partie, il y a aussi entre autres Sir Elton John, Brody Dalle, l'épouse de Josh, Alex Turner des Arctic Monkeys, Jake Shears des Scissor Sisters, et j'en passe et des meilleurs.
En live, on retrouve le groupe tel qu'il est depuis Era Vulgaris, avec l'exception de Joey Castillo, le précédent batteur, qui est remplacé par John Theodore, ancien batteur des Mars Volta. |
Comme je l'ai dit plus tôt la composition est au moins au niveau de ce à quoi le groupe nous a habitué au fur et à mesure des années, tout en continuant d'expérimenter, toujours changer en gardant leur identité, à l'image de "I Sat by The Ocean" qui réussit le mix parfait entre old-school Queens et new-school Queens.
Après il évident qu'ils y a quelques moments de chute d'intérêt, des moments moins bons que d'autres, mais je pense qu'au bout de 6 albums tous plus bons les uns que les autres, on peut leur pardonner quelques errances qui ne sabotent pas du tout le plaisir d'écoute. Personnellement, la dernière piste de l'album me remplit un peu d'un ennuis profond, mais après ça ne concerne que moi.
Toujours est-il que le dernier album des Queens Of The Stone Age est un très bon achat à faire, je vous le conseille si vous ne l'avez pas déjà acheté, il est quand-même sorti il y a presque deux mois. Et surtout, je vous en supplie, à genoux, faites-moi plaisir et achetez-le en disque, pas sur Itunes, s'il-vous-plait.
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