Wow, ça fait longtemps mes mignons. Heureusement, mes divers projet donnent un semblant de vie sur ce blog que j'aime du plus profond du petit médecine ball qui me sert de coeur.
Comment ça va ? Pas que vous puissiez me répondre ou quoi que ce soit, mais j'aimerais vraiment savoir.
Moi en ce moment ça va pas trop mal. J'essaye tant bien que mal de trouver ma voie dans la vie, comme beaucoup d'entre-vous je suis sûr, à différents niveaux et dans différents domaines.
J'aimerais vivre de mon écriture dans l'absolu, mais c'est le genre de profession plus facile à rêver qu'à rendre rentable, psychologiquement, comme financièrement. Faisant partie de la génération "Y" (je hais cette p*tain d'expression à deux sous), je me tourne donc naturellement vers Youtube.
Pendant que je prépare mon CV pour bosser dans un magasin de Jeux-vidéo, je travaille donc sur une retrospective sur ma série préférée de ce média. Avec un peu de chance, j'aurais l'occasion de parler de ça pendant mon éventuel entretien, afin de prouver, au-delà de tout doutes possible que je suis un supra-nerd qui apprend par coeur tout ce qu'il peut sur chaque jeu-vidéo dans le monde, mais qui galère encore avec ses tables de multiplications.
Donc, après plusieurs test, je poste une version plus ou moins définitive du premier épisode de ma première, et je l'espère pas dernière, rétrospective sur la série qui m'a marqué au fer rouge dés mon premier test, j'ai nommé, Metal f*cking Gear.
samedi 12 avril 2014
samedi 8 mars 2014
vendredi 28 février 2014
dimanche 26 janvier 2014
vendredi 24 janvier 2014
Girls
Un peu comme ça. |
Je cherche petit à petit mes mots, parce que j'ai ce sourire soudé sur mes têtes, et des fourmis dans la lêvre. Ou l'inverse.
Vous le connaissez ce sourire benêt.
Je suis amoureux.
Ce n'est pas ce que vous croyez. Ma relation la plus torride en ce moment est un coussin serti de motifs assez sympa que j'appelle Tom. Ne me jugez pas, je traverse une phase difficile.
Je suis tombé amoureux...d'une série. Oui, j'ai trompé coussin Tom, je sais, je suis une trainée, mais mettons mes histoires d'adultère de côté.
Alors, Girls.
Girls est une série écrite par Lena Dunham, qui n'a que vingt-sept ans, mais est déjà la femme la plus stylée que je connaisse.
La série traite de la vie de Hannah, jeune New-Yorkaise complètement obsédé par tous les déboires qu'elle rencontre, ainsi que de celle de son entourage d'amis, avec chacun leur caractère et leurs défauts. Je sais que ce que je viens d'écrire fait penser à Sex in the City.
Je fais part de cette comparaison un peu au hasard, toute information à propos de ladite série étant caché dans un endroit de mon cerveau, gardé par des petits monstres, où je fourre tout souvenir que j'aimerais bien pouvoir oublier le plus vite possible. Imaginez Alcatraz, mais à la place des détenus, il y a Amazing Spideman, Smallville, Tron 2, et d'autres joyeux lurons.
Je m'égare.
Ce qui me frappe dans Girls, c'est la crédibilité des personnages, ce qui pour moi est un énorme plus, surtout si les personnages évoluent dans ce qui peut paraitre au premier abord comme une comédie romantique.
Mais c'est là où la série vous met le grappin dessus. Je pensais essayer deux trois épisodes d'une banale série conventionelle, mais il s'agissait d'un subterfuge habile.
Je suis maintenant accro. Mon nom est Jules Carter, et je suis Girls-aholic.
Regarde pas tout de suite, je crois qu'un rat pousse sur ta tête. |
Non pas que le casting masculin soit un tant soit peu moins génial.
Je parle de ce point avec autant de véhémence parce que j'entretiens une relation assez ambigüe avec l'humour. Je suis quelqu'un de très difficile, et je sais que ça peut sembler assez bête, étant donné que je me tente des fois à essayer d'être drôle, sans énormément de succès, mais que voulez-vous, Sinclair n'a pas le monopole du jugement déplacé.
Toujours est-il que j'aime l'humour, j'en consome autant que je peux, et avec aucune modération.
Oui, j'aime vivre dangereusement.
C'est à peu prèt la tête que que je fais à chaque nouvel épisode. |
Je suis conscient que ce que je viens de dire peut être assez confu pour les personnes qui ne vivent pas dans ma tête, et non, je ne vous en veux pas, ce n'est pas donné à tout le monde.
Je veux dire, ce que j'aime dans la vie c'est le naturel. J'aime les gens naturels, même caractériels, tout comme j'aime cette série, parce qu'elle est naturelle. Est-elle parfaite ? Non. Mais quand vous êtes amoureux de quelqu'un, la trouvez vous parfaite ? Avant de dire oui, réfléchissez vraiment.
Yes, I'm talking to you. |
Certaines séries sont tellement peu sûre de leur humour qu'elles vous disent tout simplement explicitement où rire.
Les situations sont drôle, parce qu'elles sont mise en scène par des gens drôle, produite par des personnes drôles, joué par des acteurs drôles, et écrite par des écrivains drôles, avec des vrais morceaux de réalisme dedans.
Les femmes ressemblent à des vraies femmes, et les hommes à des vrais hommes, et je trouve ça si raffraichissant. Pas ou peu de clichés, des intrigues auquelles on prend presque part, émotionnellement en tout cas, et des dialogues bruts, parfois mythiques.
Bon, okay, pas totalement. |
Oui, je parle toujours de la série. Exclusivement et totalement de la série.
Je n'ai pas grand-chose de plus à dire sur cette série, parce que je n'ai qu'une seule envie, c'est que vous la regardiez tous, que vous me contactiez et qu'on monte un fan-club, avec un forum et des t-shirt.
Et je plaisante à moitié.
samedi 18 janvier 2014
This is the end
Lol.
ça fait du bien.
Bonjour à tous, et à tout le reste, aujourd'hui je vais parler de This is the End. Ce film est une petite pépite. Non pas qu'il soit révolutionnaire ou qu'il change quelque règle cinématographique que ce soit. Comme susmentionné, j'ai vu ce film écrit par Seth Rogen et son ami Evan Goldberg et je me suis bien bidonné.
Comme prévu, ce film ne bouscule aucune tradition, mais tout est dans l'exécution. Et quelle exécution ! Michael Cera cocaïnomane et coureur de jupon, Danny McBride grognon et virulent, Seth Rogen, terrorisé par l'idée de se faire molester, Jonah Hill trop gentil pour être vrai, James Franco en egomaniaque puéril, et en fond, l'apocalypse.
L'histoire traite de Seth Rogen et Jay Baruchel qui, pour fêter le retour à Los Angeles de ce dernier, vont à une soirée chez James Franco. Arrivé sur place, Jay se rend compte à quel point il se sent extérieur à ce monde, et passe un début de soirée assez...spécial.
Hey, je crois que le gars qui joue dans Juno viens de mettre une main à Rihanannas. |
Ah...hum...non, t'inquiète, j'irais aux toilettes quand t'auras...fini. |
Mais d'un seul coup, la soirée prend une tournure pour le moins inattendue quand une partie des humains se fait envoyer au paradis et que l'apocalypse se déclenche en 1 minute top chrono.
Et l'heure et demie qui reste est plus ou moins une grande publicité de tourisme pour la Californie. |
Le trailer de Pineapple Express 2 vaut à lui seul la vision de ce film. |
Les effets spéciaux ne font pas l'erreur d'être trop présents, et n'éclipsent aucun autre aspect du film, tout en étant au moins aussi délirant que le reste, à l'image du bestiaire composé de démons venu de l'enfer et du hollywood couvert de flammes.
La bande-sonore est assez discrète, aucun thème ne me revient en tête, mais les effets sonores sont de très bonne facture, et mettent dans le bain de l'ambiance sans aucun problème.
Epic sh*t/ |
Je vous conseille donc de voir ce film, en attendant, moi je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures, bonne année, joyeuse pâques, et si vous croisez Montesquieu, souhaitez-lui un joyeux anniversaire.
mardi 7 janvier 2014
Matt Smith au pays des tournevis et des noeuds pap' magiques.
Hum.
Ma première "rencontre" avec Matt Smith fût brève mais intense. J'en parlerais plus tard.
Remontons dans le temps à bord de ce Tardis, attention la marche madame, attention à votre tête monsieur.
2005
Je m'étais remis à Doctor Who, et avec joie, je pouvais voir des épisodes dans l'ordre, et pas dans le méli-mélo très confus des diffusions américaines qui avaient laissé pas mal de questions irrésolue pour l'esprit pré-pubère que j'avais à l'époque. Et j'aimais mon premier vrai Docteur, Christopher Eccleston. Beaucoup.
Inutile de dire que la nouvelle qu'à la fin de cette même année, mon Docteur se faisais piquer la place par un petit freluquet écossais beau-gosse, me laissa un peu perplexe. J'entretiens une relation spéciale avec cet acteur. Déjà j'aime l'appeler par son petit nom propre complet, David John McDonald, dans l'intimité de nos entretiens torrides ( BroadChurch, Blackpool...)
Plus sérieusement, j'ai eu du mal à accepter son charisme au premier abord, me moquant souvent de sa moue semi "héros stylé" semi "jesuisunfrappadinguesuperintelligentfaitgaffe".
Ouuuh, mais regardez-moi comme je suis stylé. |
Comme Tennant.
Bon, comme tout être vivant qui a un tant soit peu suivit la série, j'ai pleuré comme une madeleine en carton quand le 10e (ou le 10/11e, ou le 11e, ou...quelqu'un a une aspirine ?) est parti et a laissé derrière lui un jeunot au menton en béton armé de Gallifrey, fétichiste de noeud pap'.
Le deviantart de la photographe est fort sympa http://geelola.deviantart.com/ |
Pour revenir à ce que je disais auparavant, je me souviens la première fois que j'ai vu la tête de Matt Smith.
Je passais à côté d'un bus, et je vois sur l'une des pubs une promo de la saison 5. Je me dis, ah, tiens, un nouveau docteur.
Il a une tête un peu spéciale non ?
Il est arrivé en fanfare, et quelle fanfare ! Son premier épisode complet reste à ce jour une de mes introductions de docteur préférée. Le onzième docteur (ou le douzième...personne a d'aspirine, vraiment ?) est fou, ça on le savait déjà non ?
Sauf que lui est sur une autre stratosphère. Il court, il bondit, il plaisante, oublie qu'il est magique, mange du poisson pané à la crème anglaise, il se souvient qu'il est magique, il te le rappelle, sauve le monde/univers/compagnon et tout ça en quarante minutes.
Il a, à mes yeux connecté pour de bon Doctor Who avec le reste du monde, par son jeu entrainant, ses mimiques drôles, son engagement certain, et de son charisme grandissant. Et quel charisme ! D'accord, il n'est pas un petit cliché de beauté qu'on aime tous voir exposer leur "talent" dans des films à grand budget.
Il a comme on dit dans le jargon une "gueule".
On a beau avoir des réactions similaire à celles du premier contact avec Benedict Cumberbatch...
...On en revient toujours au même point. L'homme a du style. Beaucoup de style. Il respire la coolitude.
Il suinte le swag.
Dans toutes les langues.
Les mimiques, le jeu dans l'espace, les bondissements, les maladresses, les joies, les tristesses, Matt Smith fût comme une toile céleste sur laquelle Moffat, grosse légume de Doctor Who, qui signait le début de son règne en même-temps que Matt (littéralement, sa première ligne de dialogue est écrite par Steven Moffat, alors que le reste de l'épisode était écrit par son prédécesseur, Russel T. Davies).
Prenant la place de Tennant que je trouvais trop cool pour être le docteur, Matt Smith nous a rappelé que le docteur est cool parce qu'il redéfinis le terme. Ce n'est pas son style vestimentaire qui est cool, ses costumes tiennent plus de la garde-robe de papi que de ceux d'un super-héros, ce n'est pas son sérieux qui est cool, il passe plus le temps à rire de ses actes héroïques comme s'il s'agissait de vulgaires farces et attrapes. Non, le docteur de Matt Smith est cool parce qu'il a du panache, du style...et absolument aucun plan sur la durée.
J'ai aimé aussi le retour plus soutenu d'humoir bien noir comme je l'aime, avec ce que je ressens comme étant un retour à un docteur mystérieux comme le 6, 7, 8, et 9.
" -[...]Personne ne vous l'a déjà dis ? Il y a quelque chose que vous ne devez jamais mettre dans un piège. Si vous êtes futés, si vous apportez de la valeur à la continuation de votre vie, si vous comptez voir le jour se lever demain, il y a quelque chose que vous ne devriez jamais, au grand jamais mettre au piège
-Et qu'est-ce donc sir ?
-....Moi."
Bref.
Maitre Matt Smith a quitté Doctor Who dans une regeneration qui m'a pincé au coeur le 25 décembre au soir, et je voulais lui faire mes adieux en bonne et dûe forme.
Il va me manquer ce génie-maladroit-fou-emo-ringard, lui et sa petite boite bleue. Je pense que comme tout le monde, on ne se rend vraiment compte à quel point il nous manquent qu'une fois qu'il sont parti.
J'adore cet acteur, et j'ai hâte de le voir dans d'autres productions, notamment How to catch a monster, ou il jouera au côté de Ryan Gosling, dans ce qui s'annonce déjà comme un petit bijou de style.
Bon vent l'homme déguenillé.
Le roi est mort, vive le roi.
Je passais à côté d'un bus, et je vois sur l'une des pubs une promo de la saison 5. Je me dis, ah, tiens, un nouveau docteur.
Il a une tête un peu spéciale non ?
en même-temps, j'avais 50% de chance d'erreur |
Mais j'ai subi l'effet contraire de Tennant au premier abord, jai pensé à ce moment là "C'est le docteur, aucun doute là-dessus".
Je ne croyais pas si bien dire.
Il est arrivé en fanfare, et quelle fanfare ! Son premier épisode complet reste à ce jour une de mes introductions de docteur préférée. Le onzième docteur (ou le douzième...personne a d'aspirine, vraiment ?) est fou, ça on le savait déjà non ?
Sauf que lui est sur une autre stratosphère. Il court, il bondit, il plaisante, oublie qu'il est magique, mange du poisson pané à la crème anglaise, il se souvient qu'il est magique, il te le rappelle, sauve le monde/univers/compagnon et tout ça en quarante minutes.
Oui je parle de toi. Faire la gueule n'y changera rien, boucle d'or. |
Il a, à mes yeux connecté pour de bon Doctor Who avec le reste du monde, par son jeu entrainant, ses mimiques drôles, son engagement certain, et de son charisme grandissant. Et quel charisme ! D'accord, il n'est pas un petit cliché de beauté qu'on aime tous voir exposer leur "talent" dans des films à grand budget.
Il a comme on dit dans le jargon une "gueule".
On a beau avoir des réactions similaire à celles du premier contact avec Benedict Cumberbatch...
Oh...Oh my god, wot' is that ? Kill it ! Kill it with fire !!!! |
Il suinte le swag.
Dans toutes les langues.
Les mimiques, le jeu dans l'espace, les bondissements, les maladresses, les joies, les tristesses, Matt Smith fût comme une toile céleste sur laquelle Moffat, grosse légume de Doctor Who, qui signait le début de son règne en même-temps que Matt (littéralement, sa première ligne de dialogue est écrite par Steven Moffat, alors que le reste de l'épisode était écrit par son prédécesseur, Russel T. Davies).
Prenant la place de Tennant que je trouvais trop cool pour être le docteur, Matt Smith nous a rappelé que le docteur est cool parce qu'il redéfinis le terme. Ce n'est pas son style vestimentaire qui est cool, ses costumes tiennent plus de la garde-robe de papi que de ceux d'un super-héros, ce n'est pas son sérieux qui est cool, il passe plus le temps à rire de ses actes héroïques comme s'il s'agissait de vulgaires farces et attrapes. Non, le docteur de Matt Smith est cool parce qu'il a du panache, du style...et absolument aucun plan sur la durée.
J'ai aimé aussi le retour plus soutenu d'humoir bien noir comme je l'aime, avec ce que je ressens comme étant un retour à un docteur mystérieux comme le 6, 7, 8, et 9.
" -[...]Personne ne vous l'a déjà dis ? Il y a quelque chose que vous ne devez jamais mettre dans un piège. Si vous êtes futés, si vous apportez de la valeur à la continuation de votre vie, si vous comptez voir le jour se lever demain, il y a quelque chose que vous ne devriez jamais, au grand jamais mettre au piège
-Et qu'est-ce donc sir ?
-....Moi."
Bref.
Maitre Matt Smith a quitté Doctor Who dans une regeneration qui m'a pincé au coeur le 25 décembre au soir, et je voulais lui faire mes adieux en bonne et dûe forme.
Il va me manquer ce génie-maladroit-fou-emo-ringard, lui et sa petite boite bleue. Je pense que comme tout le monde, on ne se rend vraiment compte à quel point il nous manquent qu'une fois qu'il sont parti.
J'adore cet acteur, et j'ai hâte de le voir dans d'autres productions, notamment How to catch a monster, ou il jouera au côté de Ryan Gosling, dans ce qui s'annonce déjà comme un petit bijou de style.
Bon vent l'homme déguenillé.
Le roi est mort, vive le roi.
Kidneys ! |
It's Capaldi Time motherf*cker !
Mes excuses pour les non-whovians qui se sont essayés à lire ce charabia.
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