Alors, pour rester dans la vérité, et ne pas faire mentir ma bannière, je poste le premier article du mois, et espérons-le, pour les trois lecteurs qui suivent encore, pas le dernier.
Ce soir donc, un test de jeu, et plus particulièrement, Bioshock Infinite, dernier épisode en date d'une série que j'affectionne énormément.
Depuis le début de ma "carrière" de joueur, je suis assez hermétique au genre du FPS (First Person Shooter), mon domaine de prédilection étant l'infiltration, genre qui est assez diamétralement opposé.
Pourtant, à mon premier contact avec Bioshock premier du nom, chez mon meilleur ami, j'ai fais l'expérience de sentiments positifs à son encontre (le jeu, pas mon meilleur ami), ce qui m'a poussé à faire fi de mes préjugés sur ce genre. J'ai donc plongé dans cette aventure, dans les deux sens du terme, étant donné que le monde que l'on explore dans ce titre est sous-marin, et somptueux qui plus est.
Des artworks au niveau du reste du jeu, beaux et soignés. |
Le scénario laisse le champs libre à des événements assez dérangeant, dans la tradition de la série |
Je vais me forcer à ne pas tourner autour du pot, ce jeu est très bon. Au moins au niveau des Bioshock 1&2, ce qui n'est pas peu dire. Cependant, et comme les critiques se sont déjà occupé d'encenser ce jeu, je vais me contenter de souligner des points faibles.
Comme Rapture, Columbia transmet son histoire et sa culture par de nombreuses oeuvres d'arts et autres expositions. |
Le monde des cieux est à vous grâce au nouveau système de Sky hook qui vous propulse dans les airs avec panache |
La propagande est aussi présente qu'à Rapture, avec son lot de publicités drôles et soignées. |
Aussi, le personnage principal est cette fois-ci doué de parole, ce qui réduit un tant soit peu l'immersion dans sa peau, mais qui donne droit à des répliques parfois très clichées certes, mais souvent intelligentes et drôle même. Les acteurs ne nous servent que du bon, et ça, mine de rien, c'est un bon point non négligeable.
Elizabeth est parfois criante de réalisme, il suffit de regarder ses expressions pour s'en rendre compte. |
Au niveau des grands absents de cette suite, je pleurerais la disparition du piratage, mécanique de jeu qui ajoutaient une difficulté optionnelle aux deux opus précédents.
Malgré ces petits, mais présents, défauts, ce jeu est une réussite sur pas mal de points, et atteint sans trop de difficulté le statu de jeu culte, et de petit bijou vidéo-ludique que je vous conseille donc sans hésiter, à vous de jouer, et bonne visite de Columbia, c'est un voyage dont vous vous souviendrez.
Ca te va bien les critiques de jeu ! J'attends que mon frère l'achète pour y jouer haha
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