mercredi 27 mai 2009
The Airborne Toxic Event
The Airborne Toxic Event est un groupe de Los Angeles, avec un album à son actif. Dirigé par le chanteur-écrivain-compositeur-guitariste Mikel Jollett, il est un de ces groupes qui sentent le talent à 40 kilomètres. Il est composé de Steven Chen à la guitare et au clavier, Noah Harmon à la basse, Daren Taylor à la batterie et de Anna Bulbrook au clavier et au violon. Tout ce beau monde contribue à l'expérience unique qu'est The Airborne Toxic Event, nom tiré du livre White Noise de Don Delillo.
Ce groupe est à mi-chemin entre U2 et Eagle eye cherry et remue des sentiments à chaque écoutes. Mikel maitrise aussi bien la prose que les paroles de chanson, ayant à son actif plusieurs fictions à son actif, et nous livre des paroles sans clichés, poétique, et touchant, sans pour autant tomber dans le mélodrame, parfois même en penchant vers le léger, le drôle. Les mélodies sont parfaitement composées, sans qu'on ai l'impression d'une perte de qualité comme c'est le cas pour certain groupes.
Vous l'avez compris, The Airborne Toxic Event est un petit bijou musical, à écouter au plus vite.
lundi 25 mai 2009
Escape From New York
J'ai regardé pour la 3e fois "Escape from New york", et ma première constatation c'est que le film a pas trop mal vieillit, au moins graphiquement, avec des effets spéciaux un peu kitch, mais passables.
Mais au fur et à mesure que je regarde, je me rend compte que la mise en scène est tout ce que ce film a comme point fort. Jeu d'acteur désastreux, chorégraphies ridicules, situations et personnages clichés viennent plomber ce qui aurait pu être un très bon film...
Kurt Russel, des couilles en plomb, un jeu d'acteur en carton.
Ce film est un véritable cliché de film d'action ringard. C'est surjoué, pas dans le bon sens, et ça sent furieusement le film vite tourné.
Le scénario est assez bon toutefois, avec son lot de rebondissements qu'on prévoit assez facilement, mais qui sont assez intéressants pour qu'on puisse les apprécier.
Le grand méchant de l'histoire est black, s'habille de façon très...excentrique, parle comme un jeune du bronx, et on l'appelle "le duc", bienvenue à cliché-land.
Malgré les défauts évidents, on lui pardonne grâce aux mimiques de Kurt, les fourberies de Brain, et l'absolue antipathie qu'on ressent pour le président dés les premières minutes, plein de petits cliché qui donnent le sourire à l'amateur de bon vieux nanard comme on en fait plus.
Donc, si vous cherchez un chef-d'oeuvre du 7e art, passez votre chemin, ce n'est pas un film intelligent, ni un film profondément artistique, c'est un bon divertissement, et c'est déjà pas si mal que ça...
Mais au fur et à mesure que je regarde, je me rend compte que la mise en scène est tout ce que ce film a comme point fort. Jeu d'acteur désastreux, chorégraphies ridicules, situations et personnages clichés viennent plomber ce qui aurait pu être un très bon film...
Kurt Russel, des couilles en plomb, un jeu d'acteur en carton.
Ce film est un véritable cliché de film d'action ringard. C'est surjoué, pas dans le bon sens, et ça sent furieusement le film vite tourné.
Le scénario est assez bon toutefois, avec son lot de rebondissements qu'on prévoit assez facilement, mais qui sont assez intéressants pour qu'on puisse les apprécier.
a/ Regarde, à part avoir l'air constipé tout le temps, je peux aussi avoir l'air triste !
b/Qu'est ce que je fais dans ce film ?
c/Regarde ma petite mèche là, et hop sur la gauche !
Les personnages auraient gagné à être plus travaillés, et semblent être sortit de l'imaginaire d'un japonais sous champignons, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose, à part si on veut tourner un film sérieux.b/Qu'est ce que je fais dans ce film ?
c/Regarde ma petite mèche là, et hop sur la gauche !
Donc, si vous cherchez un chef-d'oeuvre du 7e art, passez votre chemin, ce n'est pas un film intelligent, ni un film profondément artistique, c'est un bon divertissement, et c'est déjà pas si mal que ça...
dimanche 24 mai 2009
S. Darko
Alors là, une autre suite dont on se serait bien passé. Rappelons-le S. Darko est la suite de Donnie Darko, un film fantastique, dans les deux sens du terme, où le héros était joué par le beau et ténébreux Jake Gyllenhaal, le cow-boy de Brokeback Moutain. La suite souffre du syndrome de " l'effet papillon 2 ". Pas les mêmes acteurs, pas le même réalisateur, pas la même saveur, pas la même notion épique.
En gros, S. Darko est comme son grand-frère, mais en moins bien. On sent que l'équipe a essayé de donner le même style, avec quelques scènes qui rappellent vaguement Donnie Darko, mais qui sont loin de produire les mêmes émotions. Si il n'étais pas destiné à être la suite de Donnie Darko, S. Darko aurait été un simple film médiocre, mais comme il suit un mastodonte du film fantastique, il laisse une marque indélébile chez les fans. Encore une franchise qui passe par la fenêtre.
Good morning England (The Boat That Rocked)
Je suis allé voir " Good morning england " hier, m'attendant à une bonne expérience. Je suis sortis avec un sourire jusqu'aux oreilles. Ce film est, je trouve, une réussite sur tous les points. Les acteurs sont à fond dans leurs personnages respectifs, la musique est choisie par des gens qui apparemment savent de quoi ils parlent, les scènes sont toutes à mourir de rire. Les péripéties sont un peu tirée par les cheveux, les personnages un peu caricaturaux, mais bon dieu quel film ! Tout dans celui-ci est délicieux et à aucun moment y a-t-il une perte de rythme, on se délecte de chaque dialogues, on s'émerveille devant le choix musical, avec notamment du Who, du Hendrix, du Rolling Stones,...etc. En bref, si vous aimez les comédie qui fleurent bon la musique vintage, ce film est pour vous.
samedi 23 mai 2009
Nihil chapitre 4
Il est 6 heures du matin, nous sommes jeudi, et un mal de tête insoutenable me tiraille. Cela fait maintenant 3 jours que je ne dors pas, tantôt lisant le livre de mon père, tantôt laissant le doute m'envahir. D'abord résolu à ne pas lire ses textes, j'ai lentement cèdé à la tentation.
J'ai remonté le livre et je l'ai posé sur la table du séjour, à la lumière du jour. Je l'ai laissé là, j'ai tenté d'écrire, en vain, et je me suis assis devant lui, à le contempler silencieusement. Puis, au bout de plusieurs heures, je l'ai ouvert et j'ai commencé ma lecture.
" L'homme se croit à tort omniscient. Ce qu'il ne voit pas est automatiquement classé dans la rubrique "inexistant". Pourtant, l'oeil de l'homme est faillible. Les animaux semblent être plus à l'écoute de certaines forces qui nous dépassent, alors que nous nous déclarons supérieur à eux. Des autres êtres pourraient tout à fait exister sur un autre plan astral, une dimension parallèle à la notre. Les capacités de l'homme sont limitées, la réalité n'est qu'une notion inventé par l'homme pour essayer de définir l'indéfinissable. En effet, la vérité, la réalité en tant qu'entité unique n'existe pas, il y a autant de réalités qu'il y a de points de vue.
Je me masse doucement la tête en soupirant. Mes yeux tiennent difficilement ouverts. Je sors de mon lit et titube vers la salle à manger quand il me semble entendre un bruit de bouteilles qui s'entrechoquent. Je m'immobilise, l'oreille tendue. Rien. Juste le bruit de la mer, encore et toujours. Au bout de quelques secondes d'immobilité, je me remet à marcher vers le salon, puis j'ouvre la porte en face de moi pour rentrer dans la cuisine, méfiant. Personne. J'aurais pourtant juré avoir entendu un bruit. Je me sers un verre d'eau que j'engloutis aussitôt. Je prend ma boite d'antidépresseurs qui se trouve à côté de l'évier, je prend deux gélules que j'avale, puis je retourne dans ma chambre pour m'effondrer sur mon lit.
Suite au prochain chapitre.
J'ai remonté le livre et je l'ai posé sur la table du séjour, à la lumière du jour. Je l'ai laissé là, j'ai tenté d'écrire, en vain, et je me suis assis devant lui, à le contempler silencieusement. Puis, au bout de plusieurs heures, je l'ai ouvert et j'ai commencé ma lecture.
" L'homme se croit à tort omniscient. Ce qu'il ne voit pas est automatiquement classé dans la rubrique "inexistant". Pourtant, l'oeil de l'homme est faillible. Les animaux semblent être plus à l'écoute de certaines forces qui nous dépassent, alors que nous nous déclarons supérieur à eux. Des autres êtres pourraient tout à fait exister sur un autre plan astral, une dimension parallèle à la notre. Les capacités de l'homme sont limitées, la réalité n'est qu'une notion inventé par l'homme pour essayer de définir l'indéfinissable. En effet, la vérité, la réalité en tant qu'entité unique n'existe pas, il y a autant de réalités qu'il y a de points de vue.
Je me masse doucement la tête en soupirant. Mes yeux tiennent difficilement ouverts. Je sors de mon lit et titube vers la salle à manger quand il me semble entendre un bruit de bouteilles qui s'entrechoquent. Je m'immobilise, l'oreille tendue. Rien. Juste le bruit de la mer, encore et toujours. Au bout de quelques secondes d'immobilité, je me remet à marcher vers le salon, puis j'ouvre la porte en face de moi pour rentrer dans la cuisine, méfiant. Personne. J'aurais pourtant juré avoir entendu un bruit. Je me sers un verre d'eau que j'engloutis aussitôt. Je prend ma boite d'antidépresseurs qui se trouve à côté de l'évier, je prend deux gélules que j'avale, puis je retourne dans ma chambre pour m'effondrer sur mon lit.
Suite au prochain chapitre.
Frick you
Si on vous frappe sur la joue droite vous tendez la gauche, mais si on vous donne un coup dans les roubignoles, vous tendez quoi ?
J'aime parler dans le vide, ça fait un echo, c'est amusant.
Apparemment, les femmes française sont vues par les anglaises comme étant basée sur le schéma " fais à bouffer, le ménage, et tais-toi ". On nous reproche aussi de préconiser le paraitre. Aussi, le français étant un alcolo, la française s'occupe de la maison pendant que celui-ci s'en fout plein le pif. Mais putain de quoi je me mêle la rosbiff ?
"Et si vous osez vous balader en mini jupe et débardeur, attention au drame !! Le Français est très pudique. Tenue correcte exigée en métropole..."
Où est-ce-que je poserais-je mes yeux si les magnifique française ne me gratifiaient pas de magnifiques petite mini-jupes ?
«La liberté de la presse a une limite» a rappelé Me Francis Szpiner, une limite atteinte selon lui par le dernier numéro du magazine Choc qui publie, en une, une photo d'Ilan pendant sa séquestration par le «gang des barbares»
C'est marrant comme concept la liberté de la presse, parce qu'en fait si l'Etat décide que t'as pas le droit de publier un truc, t'as pas le droit. Moi dans ce cas là, j'appellerais ça la "presque liberté de la presse" ou encore "la liberté qui ne sert qu'à gonfler l'ego des hypocrites". La démocratie montre une fois de plus qu'on peut se mettre à enculer tout le monde, du moment qu'on a l'air d'être dans le vrai.
"La consommation excessive de cola favoriserait le développement d'une maladie appelée hypokaliémie et dont les symptômes iraient de la simple fatigue ou constipation à la paralysie. Cette étude montrerait notamment que les individus consommant entre 2 et 10 litres de cola par jour peuvent développer la maladie."
J'ai l'anus qui marche pas, c'est la faute à coca.
Pwnd by yours truly
J'aime parler dans le vide, ça fait un echo, c'est amusant.
Apparemment, les femmes française sont vues par les anglaises comme étant basée sur le schéma " fais à bouffer, le ménage, et tais-toi ". On nous reproche aussi de préconiser le paraitre. Aussi, le français étant un alcolo, la française s'occupe de la maison pendant que celui-ci s'en fout plein le pif. Mais putain de quoi je me mêle la rosbiff ?
"Et si vous osez vous balader en mini jupe et débardeur, attention au drame !! Le Français est très pudique. Tenue correcte exigée en métropole..."
Où est-ce-que je poserais-je mes yeux si les magnifique française ne me gratifiaient pas de magnifiques petite mini-jupes ?
«La liberté de la presse a une limite» a rappelé Me Francis Szpiner, une limite atteinte selon lui par le dernier numéro du magazine Choc qui publie, en une, une photo d'Ilan pendant sa séquestration par le «gang des barbares»
C'est marrant comme concept la liberté de la presse, parce qu'en fait si l'Etat décide que t'as pas le droit de publier un truc, t'as pas le droit. Moi dans ce cas là, j'appellerais ça la "presque liberté de la presse" ou encore "la liberté qui ne sert qu'à gonfler l'ego des hypocrites". La démocratie montre une fois de plus qu'on peut se mettre à enculer tout le monde, du moment qu'on a l'air d'être dans le vrai.
"La consommation excessive de cola favoriserait le développement d'une maladie appelée hypokaliémie et dont les symptômes iraient de la simple fatigue ou constipation à la paralysie. Cette étude montrerait notamment que les individus consommant entre 2 et 10 litres de cola par jour peuvent développer la maladie."
J'ai l'anus qui marche pas, c'est la faute à coca.
Pwnd by yours truly
jeudi 21 mai 2009
Lenka
Lenka est une bien mignonne chanteuse, avec des vrai morceaux de talent dedans.
Je ne me lasserais donc jamais de l'option Ilike de Facebook, qui me présente des nouveaux sons, tous plus agréables les uns que les autres. Lenka, diminutif du prénom slave Lena, est une chanteuse Australienne qui allie des rythmes simple mais entrainants avec des paroles sucrées, dont on se délecte en bougeant la tête en rythme. Du bonheur en musique en somme. Si sa voix ne vous fait pas sourire, si ses rythmes ne vous mettent pas de bonne humeur, si son charme ne vous ravage pas, c'est que vous avez une pierre là où autre chose est censé être.
mardi 19 mai 2009
C'est l'printemps...
Trouvez l'amour
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Célibataire?
80% de nos abonnés ont fait la rencontre d'une personne grâce à Meetic. Accès gratuit!
Mais vous avez bientôt fini votre lavage de cerveau oui ? Célibataire et fier de l'être ! Je crois...
Vous vous êtes jamais demandé où allait l'humanité ? Ah non pas par là, c'est un cul de sac ! Ah bah elle y va quand même dis-donc...
C'est quoi le plus heureux entre un rocher et un homme d'après vous ? Celui qui pense pas où celui qui essaye mais pour qui ça foire à tout les coup ?
Je crois en la croyance de croire qu'on ne croit pas. Libre à vous de me croire ou pas.
Nobel a créé la dynamite et après le prix Nobel. On dit toujours Einstein Einstein, mais il a inventé quoi pour se faire pardonner pour la bombe atomique ? Parce que E=mc2, ça va deux secondes...
Les gens qui regardent le ping-pong professionnel devraient se faire soigner.
J'aimerais choper l'inventeur de la télé-réalité et le forcer à regarder tous les dérivés affligeant qu'il a engendré.
J'aurais pu vous instruire, vous distraire, vous intéresser, vous émerveiller, mais j'ai préféré vous écrire.
Pwnd by yours truly.
30H!3
Derrière ce nom bizarre se cache un des groupes les plus trippants du moment, alliant des sons électroniques entrainants et des paroles ravageuses, ces deux hurluberlus mordu d'electro qui ne se prennent pas au sérieux vous ferons bouger votre "booty" en riant. Bons points, les airs entrainants, les paroles hilarantes, et les clips space à souhait. Mauvais points, Des sons somme toute assez basique, loin d'un bon prodigy, et des voix un peu irritantes parfois. Mais il s'agit tout de même d'un très bon groupe, loin de la pop niaiseuse à qui on a le droit ces derniers temps. Enjoy !
Spinnerette
Quand Brody Dalle, ma déesse, Tony Bevilacqua, Jack Irons et Alain Johannes joignent leurs forces, ça donne Spinnerette, une petite merveille post-punk qui n'a pas encore découvert toutes ses qualités, malgré un départ pétaradant. Brody Dalle et Tony Bevilacqua, qui sont déjà connu pour leur groupe culte, les Distillers, Jack Irons, ancien batteur des Red Hot Chili Peppers, et Alain Johannes qui a signé plusieures musiques avec les Queens Of the Stone Age, le groupe du mari de Brody, livrent ici des performances irréprochables. D'ailleurs, on peut déceller des influences de l'illustre QOTSA, notamment avec Ghetto Love, premier et seul single sorti à ce jour. Du tout bon donc, pour un premier essais plus que concluant. à suivre de très près.
Aussi, petite mention spéciale à mon idole Liam Lynch qui signe ici un de ses meilleurs clip. Liam Lynch qui est connu entre autre pour son hit planétaire " United States of whatever " et pour la réalisation du film " Tenacious D and The pick of destiny "
The prodigy
The Prodigy, c'est un peu comme une vieille amie qu'on a pas vu depuis longtemps de qui on avait un bon souvenir physiquement, et qu'on se rend compte que les années lui ont pas fait de cadeau... En écoutant " Invaders must die ", leur nouvel album, j'ai aimé, bien sûr, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser à " Fat of the land ", avec la larme à l'oeil. On retrouve les mêmes ryhtmes endiablés, les mêmes crises d'hystérie créative, mais sans le facteur de surprise et la dimension épique des débuts. Toutefois, rappelons qu'il s'agit de l'équipe originale de The Prodigy, avec bien sûr Liam Howlett, mais aussi Keith Flint et Maxim Reality, qui ont toujours la même aura, donc on a droit à du pur Prodigy. Alors si vous êtes fans, vous risquez d'être un peu déçu, mais à l'écoute de certains morceaux de cet album, vous vous rendrez compte que les sensations sont intactes.
lundi 18 mai 2009
Hum.
Si le temps ne se décide pas bientôt, je vais le trouver et lui faire la tête au carré. Soyez prévenu, je suis une méchante salope et j'ai des armes.
Alors entre la crise économique, la grippe porcine et la crise dans l'éducation vous déprimez ? Essayez le porno, c'est une valeur sûre.
L'endroit d'une feuille c'est le côté du dessus et l'envers c'est l'autre côté. Et si on retourne la feuille ?
Je sais pas qui est l'abrutis qui a inventé l'attirance, mais la prochaine fois mon vieux, reste couché, on t'en voudras pas.
Attend je fais quoi là ? Ah oui j'écris c'est vrai.
Je sais pas pourquoi mais quand je pense à notre cher Nicolas, j'ai l'air du parrain dans la tête. Au moins Marlon Brandon mesurait plus que 30 cm.
Rappelez-moi ce que je fais là ?
Apparemment les relations entre citoyens et forces de l'ordre se "dégradent" notamment à cause de, je cite " fouilles corporelles 'intrusives' ". Hum. Jolie façon de formuler ça, j'aurais pas fait mieux.
Qui suis-je ? Où vais-je ?
" Mohammed Ali Jinnah nie avoir jamais été amoureux de la femme qui a porté plainte contre lui. L'homme est aujourd'hui poursuivi pour adultère et intimidation. Il aurait rencontré Aruna Kumar sur son lieu de travail. Dans la plainte déposée, celle-ci raconte s'être sentie trompée quand il a refusé sa demande en mariage après deux ans de relation. Il lui aurait dit qu'ils n'étaient que des amis bien qu'ils aient acheté un terrain ensemble. La jeune femme aurait même été prête à se convertir à l'Islam pour qu'il accepte de l'épouser, ce qu'il a refusé, expliquant qu'il préférait aller en prison plutôt que de se marier avec elle. " source : yahoo.fr
Waw. Elle pétait au lit ou quoi ?
Apparement la vie est belle. On doit pas parler de la même vie alors.
Un groupe de suédois s'est apparemment battu pour appeler leur fils "Q". Intéressant. C'est vrai qu'avec l'alphabet on a le choix, 24 pour être précis. Et encore, il ne s'agit que de notre alphabet. Quand on y pense ça aurait pu être pire, ils auraient pu vouloir l'appeler "Z" ou "X" c'est moche comme lettres. Si j'avais un fils, je l'appellerais "L".
C'est quoi ce truc devant moi ? Un "clavier" ? Et ça sert à quoi ?
Pwnd by yours truly.
Alors entre la crise économique, la grippe porcine et la crise dans l'éducation vous déprimez ? Essayez le porno, c'est une valeur sûre.
L'endroit d'une feuille c'est le côté du dessus et l'envers c'est l'autre côté. Et si on retourne la feuille ?
Je sais pas qui est l'abrutis qui a inventé l'attirance, mais la prochaine fois mon vieux, reste couché, on t'en voudras pas.
Attend je fais quoi là ? Ah oui j'écris c'est vrai.
Je sais pas pourquoi mais quand je pense à notre cher Nicolas, j'ai l'air du parrain dans la tête. Au moins Marlon Brandon mesurait plus que 30 cm.
Rappelez-moi ce que je fais là ?
Apparemment les relations entre citoyens et forces de l'ordre se "dégradent" notamment à cause de, je cite " fouilles corporelles 'intrusives' ". Hum. Jolie façon de formuler ça, j'aurais pas fait mieux.
Qui suis-je ? Où vais-je ?
" Mohammed Ali Jinnah nie avoir jamais été amoureux de la femme qui a porté plainte contre lui. L'homme est aujourd'hui poursuivi pour adultère et intimidation. Il aurait rencontré Aruna Kumar sur son lieu de travail. Dans la plainte déposée, celle-ci raconte s'être sentie trompée quand il a refusé sa demande en mariage après deux ans de relation. Il lui aurait dit qu'ils n'étaient que des amis bien qu'ils aient acheté un terrain ensemble. La jeune femme aurait même été prête à se convertir à l'Islam pour qu'il accepte de l'épouser, ce qu'il a refusé, expliquant qu'il préférait aller en prison plutôt que de se marier avec elle. " source : yahoo.fr
Waw. Elle pétait au lit ou quoi ?
Apparement la vie est belle. On doit pas parler de la même vie alors.
Un groupe de suédois s'est apparemment battu pour appeler leur fils "Q". Intéressant. C'est vrai qu'avec l'alphabet on a le choix, 24 pour être précis. Et encore, il ne s'agit que de notre alphabet. Quand on y pense ça aurait pu être pire, ils auraient pu vouloir l'appeler "Z" ou "X" c'est moche comme lettres. Si j'avais un fils, je l'appellerais "L".
C'est quoi ce truc devant moi ? Un "clavier" ? Et ça sert à quoi ?
Pwnd by yours truly.
Punk shit
Le bruit de la foule était presque aussi fort que celui du groupe. Un sentiment d'anarchie régnait. L'atmosphère était lourde et sentait la sueur. Il se sentait bête en chemise et en pantalon sur mesure en plein milieu d'hurluberlus en jean et couvert de piercings. Le chanteur criait et le batteur semblait en transe. Autour de lui, une mer de personnes, jeunes, vieilles, grosses, mince, grandes, petites. Mais malgré l'hétérogénéité de celle-ci, un seul esprit les menai, une seule pensée semblait les guider. Il ne cherchaient pas une raison à faire ce qu'ils faisaient, ils le faisaient. C'était un abandon total de tout rationalisme. Il soupira et arracha d'un coup sec les manches de sa chemise et il rejoignit la mer. Il était passé du status de rocher à celui de goutte d'eau.
Kasabian
Alors en ce moment j'ai la nouvelle vidéo de Kasabian sur mon profil myspace. Le clip commence et se termine par une voix rocailleuse qui narre une histoire. Une fois de plus, nous avons affaire à Kasabian qui reste fidèle à lui-même, proposant toujours des airs qui vous agrippent, avec des sonorités électroniques du plus bel effet, qui ne rompent pas du tout le rythme. Le clip, comme chaque clips de ce groupe raconte une histoire, ce n'est pas juste un outil promotionnel, il y a des acteurs, des personnages, un début, une fin. Alors si vous ne connaissez pas encore Kasabian, essayez-vous à ce groupe unique, vous ne le regretterez sûrement pas.
samedi 9 mai 2009
Nihil chapitre 3
Illustration de Jill C.
Me voilà enfin à la cabane. Elle me semble beaucoup plus petite maintenant que dans mes souvenirs d'enfant. Le bruit régulier de la mer rythme le calme qui règne dans cette atmosphère lourde.
Je marche le long du petit chemin de terre qui mène à la cabane avec à ma main ma machine à écrire dans son étuis de cuir, mon sac de voyage remplis de provisions et des habits de rechange. La porte s'ouvre dans un long grincement, comme dans un vieux film d'horreur de série Z. Il fait sombre. Ma main glisse le long du bord de la porte à la recherche d'un interrupteur, que je trouve après quelques secondes. J'actionne celui-ci. Rien ne se passe. Allons bon. Sûrement le générateur qui n'est pas activé. Je marche en tâtonnant pour éviter de trébucher sur un quelconque objet qui aurait le malheur de se trouver sur ma trajectoire. Je trouve enfin le garde-fou des escaliers que je contourne, avant de les descendre prudemment.
Dans mes souvenirs, le générateur se trouve à droite du bas de l'escalier. Le voilà, je tire le levier puis j'appuie sur l'interrupteur. La vieille ampoule s'allume en clignotant quelques secondes. J'analyse de l'oeil la salle maintenant éclairée dans laquelle je me trouve. C'est une petite cave avec une vieille étagère et une table, tout deux couvert de poussière. Sur la table, il y a une tasse métallique et un livre. Un livre. Je le prend, je souffle dessus pour enlever l'épaisse couverture de poussière dessus. Sur la couverture, il n'y a rien d'écrit. Je l'ouvre et une douce odeur de vieux papier me caresse les narines. Enfin du texte. Je reconnais l'écriture de mon père.
" Toute réalité est relative. La vision des choses dépend totalement de la personne qui observe. Si on suit cette idée, rien n'existe et tout existe à la fois. Les valeurs humaines ne sont qu'une vision du monde parmi tant d'autres, les animaux ont une autre vision des choses, les "marginaux" ont une autre vision des choses. Qui a raison ? Cela va beaucoup plus loin que des notions restrictives telles que la raison ou le tors. On ne peut pas considérer une seule vérité comme absolue, quelle qu'elle soit. "
Je m'arrête. Il doit y avoir au moins cinq-cent pages dans ce fichu bouquin ! Je n'ai pas envie de lire ce que mon fou de père a écrit suite aux réflexions faites dans son cerveau malade. Pourtant, j'ai un attrait bizarre qui me pousse à vouloir lire ce texte dément. Bon, pour l'instant, je vais m'installer. Je remonte lentement les marches qui grincent sous mes pieds. Pendant la soirée, j'essaye d'écrire, mais mon esprit est ailleurs, plus précisément à la cave, avec ce satané livre.
Suite au prochain chapitre.
L'homme est un loup pour l'homme
L'homme est un loup pour l'homme. Mais l'homme est aussi un danger pour la création en général. Je suis pas le premier à le dire.
L'homme, si donné l'occasion s'auto-détruira et par la même occasion détruira son entourage. C'est arrivé, ça arrive et ça arrivera. Mais quand on pense que l'homme a un tel système d'instinct de survie, on est en droit de se poser des questions. Y'a-t-il un défaut de fabrication, une sorte de "virus" qui empêche l'homme de juste survivre comme le reste des animaux ? Ou alors, est ce que ce défaut est là intentionnellement, pour préserver l'équilibre du monde, pour être sûr que l'homme connaisse sa fin comme toutes les espèces "maitresse" qui l'ont précédé ?
L'homme en société, détruit. L'homme seul, détruit. Est ce que l'homme est juste sur terre dans le seul but d'être l'animal le plus violent, le plus belliqueux et le plus imbus de lui-même ?
Le lac
Je suis né dans l'eau, mais pas comme les bébé dont la maman décide d'accoucher dans une piscine pour l'habituer à l'eau. Je n'ai pas vraiment connu mes parents, ils furent absent toute ma vie. Tout petit déjà, je nageais très vite à travers les algues et les rochers de mon lac.
Je m'amusais comme un petit fou à laisser de petites bulles derrière moi en bougeant. Je nageais admirablement pour quelqu'un de mon âge, me tortillant souplement dans ce qui était en quelque sorte mon liquide amniotique dans lequel je pourrais rester indéfiniment.
Tout allait bien jusqu'à ce qu'un jour, une bête inconnue vint troubler mon petit monde parfait.
C'était un animal très étrange, jaune avec des rayures rouges. Il avait une queue qui se terminait par une sorte de crochet. Curieux, je me mis à l'observer. D'abord, il ne me posa aucun problème. Mais au bout de quelques jours, sa présence me dérangeais. De quel droit squattait-il mon lac ? Ne sachant pas quoi faire, je finis par lui morde la queue. Je voulu ouvrir ma bouche pour le lâcher, mais le crochet s'accrocha dans ma bouche. Je n'eus pas le temps de manifester ma douleur, je me suis aussitôt fait happé hors de l'eau, tiré par une mystérieuse force. Je ne pouvais plus respirer, j'eus juste le temps de regarder la bête bizarre qui m'avait arraché de mon lac avant de sombrer dans l'inconscience...
Je m'amusais comme un petit fou à laisser de petites bulles derrière moi en bougeant. Je nageais admirablement pour quelqu'un de mon âge, me tortillant souplement dans ce qui était en quelque sorte mon liquide amniotique dans lequel je pourrais rester indéfiniment.
Tout allait bien jusqu'à ce qu'un jour, une bête inconnue vint troubler mon petit monde parfait.
C'était un animal très étrange, jaune avec des rayures rouges. Il avait une queue qui se terminait par une sorte de crochet. Curieux, je me mis à l'observer. D'abord, il ne me posa aucun problème. Mais au bout de quelques jours, sa présence me dérangeais. De quel droit squattait-il mon lac ? Ne sachant pas quoi faire, je finis par lui morde la queue. Je voulu ouvrir ma bouche pour le lâcher, mais le crochet s'accrocha dans ma bouche. Je n'eus pas le temps de manifester ma douleur, je me suis aussitôt fait happé hors de l'eau, tiré par une mystérieuse force. Je ne pouvais plus respirer, j'eus juste le temps de regarder la bête bizarre qui m'avait arraché de mon lac avant de sombrer dans l'inconscience...
Facebook mon ami
Je pense que je ne suis pas le seul à penser que Facebook est un piège ? Avec toutes les applications machiavéliques qui vous apprennent des trucs sur vous que vous savez déjà, ces groupes qui ne servent pour la plupart à rien... Bref, un vrai nid à con, et comme c'est ce que nous sommes nous autres les humains, des imbéciles heureux à qui on a donné un nonos doré, et qu'est ce qu'on est heureux avec notre nonos doré ! On le ronge bien méthodiquement , on le savoure pour qu'il dure plus longtemps.
Alors moi j'ai des idées de quizz qui pourraient bien marcher :
" Quelle marque de corde serait la plus appropriée pour votre suicide ? "
" Pourquoi êtes vous assez con pour faire ce quizz ? "
" Combien de personnes trouvent que vous êtes répugnant ? "
Ou encore quelque groupes :
" Groupe facebook contre les groupes facebook "
" Si 50 000 personnes rentre dans ce groupe je me tire une balle...Non laissez-tomber, 2 suffiront "
" Groupe des gens qui ont rien d'autre à faire que de trainer sur facebook "
" Groupe facebook pour les gens qui sont déjà dans d'autre groupe mais qui pensent que plus de groupes est forcément une bonne chose"
Ou encore quelques top 5 :
" 5 armes de destruction massive préférées "
" 5 tares humaines préférées "
" 5 moyens de se faire larguer préférés "
mercredi 6 mai 2009
Nihil chapitre 2
Illustration de Jill C.
Cela fait maintenant quatre jours que je n'arrive pas à écrire, quatre jours durant lesquels j'ai tourné inlassablement dans mon appartement sans sortir. La solitude me ronge. Aujourd'hui nous sommes lundi, Trish viens mercredi, et ma fierté m'interdit de l'appeler pour lui demander de venir. Ma chaudière fait un bruit continu. La rue est bruyante. Très bruyante. Trop bruyante. Ce vacarme m'obsède, je le déteste. Mon dos me fait mal.
Je pense que je devrais sortir, sinon je risque de devenir fou. Mais pour aller où ? Je connais déjà tous les recoin de ma ville. Peut-être devrais-je partir pour quelques jours, me changer les idées. Une fois de plus, où ? Je n'ai pas beaucoup d'amis que je pourrais visiter, et ma famille et moi ne sommes pas en bons termes.
Où ? Mon éditeur m'a dit d'aller prendre des vacances au soleil, il dit que je l'ai bien mérité, mais mes moyens ne me permettent pas d'extravagances, et il est bien placé pour le savoir.
Sans réfléchir, je me suis allongé dans mon salon, par terre comme je le fais souvent. Le plancher émet un craquement quand je bouge pour me mettre sur mon flanc droit. J'écoute le son des passants dans la rue, les klaxons, les crissements de roues. Je ferme les yeux un instant et j'essaye de penser à un endroit où je pourrais me ressourcer. Un endroit calme. Je me redresse et je regarde autour de moi. Mes yeux se posent alors sur la peinture de ma mère. Bien sûr ! Pourquoi n'y avait je pas pensé plus tôt ? La maison de mon père m'est revenu après sa mort, et ça malgré les protestations de ses deux mégères de soeurs. Tout de suite, je m'imagine en train d'écrire, ma machine à écrire sur mes genoux, face à la mer, le bruit des vagues répondant au bruit de mes touches, la bise glissant sur ma peau, transportant une fine odeur de sel et de plantes marines. Juste le temps le d'écrire un mot pour Trish et de préparer mes affaires et me voilà en route.
Suite au prochain chapitre.
samedi 2 mai 2009
Nihil chapitre 1
"N'accepte aucune réalité comme absolue". Tel furent les derniers mots de mon père, avant qu'il ne se fasse exploser la cervelle dans la salle de bain. Les souvenirs de lui se mélangent dans ma tête, j'étais jeune à l'époque, mais je me souviens de son odeur de tabac bon marché, son teint cireux, ses longs cheveux bruns en bataille et ses yeux cernés en permanence.
Mon père était un anarchiste, un peu nihiliste sur les bords, complètement fou et, même si mon jeune age ne me permettait pas de comprendre entièrement ces notions, je me doutais bien que mon père n'était pas ce que l'on pouvait appeler " normal ".
Me voilà, 14 ans plus tard, l'anniversaire de sa mort. Je ne sais jamais comment me comporter. Tous les ans, je vais manger chez ma mère, pour "célébrer" la mort de celui qui a rendu nos vies un enfer. Je joue vaguement avec quelques morceaux de poisson qui restent sur mon assiette, essayant de tromper l'ennui qui me dévore, avec le silence total qui règne dans la salle à manger. Après une vingtaine de minutes, ma mère prend enfin la parole.
- Trish va bien ?
Encore une discussion bateau. Moi qui espérais un petit débat, mais soit. Trish est une amie d'enfance. Comme mon métier d'écrivain consiste à rester assis toute la journée devant ma machine à écrire à essayer de trouver l'inspiration, elle s'occupe d'aller faire mes courses, de faire le ménage dans mon capharnaüm, et en échange, elle a " l'honneur " de lire mes oeuvres avant tout le monde.
- Oui, elle a beaucoup de travail avec moi.
Ma mère rit. C'est un rire léger, un rire de maman. Il m'apaise.
- Comment avance ton livre ?
- C'est un peu la panne d'inspiration, le " syndrome de la page blanche ".
- Bah, tu t'en remettras, j'ai confiance en ton talent.
Je souris et jette un coup d'oeil sur le chevalet de ma mère. Sur celui-ci se trouve une toile, avec l'esquisse d'un portrait d'homme, seules les constructions sont visibles, je n'arrive pas à distinguer qui c'est. Ma mère est peintre, elle a un talent, mais ses toiles ne font pas l'unanimité. Avant, elle vendait plutôt bien ses oeuvres, mais depuis la mort de mon père, elle ne se vendent pas ou peu, comme si le destin s'acharnait sur ma pauvre mère.
- Tu as vendus des toiles dernièrement ?
- Oui, à ma dernière exposition, j'ai vendu 3 toiles à un charmant homme. Il m'a fait un bon prix. Tu as toujours celle que je t'ai donné ?
Quelle question. Bien sûr que je l'ai toujours. C'est une magnifique huile du paysage visible depuis notre maison de vacances, une vieille bicoque sur une falaise au pied de laquelle l'eau grisâtre frappe et refrappe incessement. C'est au beau milieu de la bretagne qu'est cette propriété, que mon père a hérité d'un lointain cousin. C'est dans cette maison que j'ai été conçu, une nuit d'octobre pluvieuse.
- Tu connais déjà la réponse à cette question. C'est ta plus belle oeuvre.
- Non mon fils, ma plus belle oeuvre, c'est toi.
Suite au prochain chapitre.
vendredi 1 mai 2009
Shoot 'Em Up
Alors là je me dis " Un film de shoot musclé avec Clive Owen ? ça sonne pas mal ! ". Je regarde ce film et je me prend une claque monumentale. Ce film est ce que wanted aurait dû être : Un shoot nerveux, cynique et extravagant. Le jeux d'acteur est jubilatoire, les plans rapides donnent un dynamisme incomparable, et les scènes d'action, rythmée par une bande-son excellente, de nirvana à AC DC en passant par Motorhead, valent leur pesant en cacahuète.
Le travail de production est égale sur toute la longueur du film, à l'image du générique de fin animé à la perfection et les effets spéciaux détonants qui en mettent plein la vue. On ne s'ennuie pas une seule seconde, tant les situations sont tantôt hilarantes, tantôt tendues. Par contre, les scènes gores et le langage quelque peu "imagé" classent ce film dans la catégorie " âmes sensibles, s'abstenir". Mais si vous cherchez un film qui sent bon la sueur et la poudre, Shoot 'Em Up est pour vous.
Ce n'est pas un film d'action, c'est Shoot 'Em Up.
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