jeudi 6 août 2009

Voilà maintenant un petit peu plus de 5 mois que j'ai commencé à vous bassiner avec ces petits textes horripilants que je ne peux m'empêcher d'écrire. J'ai écris le premier, mu par une force mystique le 1er avril, comme la mauvaise blague que je suis. Malheureusement pour vous, ma volonté de vous importuner n'était pas un poisson d'avril que vous pourrez vous décoller du dos de sitôt.

Mon plan de vous époustoufler avec mes talents d'écrivain a échoué, mon ego étant plus large que mon talent (doux euphémisme).

Je lance d'ailleurs un concours, celui qui arrivera à trouver les fautes d'orthographes que j'ai disposé exprès dans mes textes (on y croit) gagnera un pins à chaque fautes trouvées. Putain ça va couter cher en pins dis-donc...non en fait laissez tomber.

J'allais annoncer la fin de mes petits textes à l'humour approximatif, mais l'envie de vous importuner est plus forte que celle qui m'incite à arrêter, et puis si ça vous intéresse pas, la sortie est au fond à droite. Merci, allez maintenant vous faire voir prestement.

pwnd by yours truly

samedi 1 août 2009

The Dead Weather




Je m'étais promis de ne plus faire de critique musicale, car je suis loin d'être un virtuose quand il s'agit de décrire de la musique. Pour moi le seul langage de la musique est véhiculé par la musique. Le bon son parle de lui-même.

Pourtant, je ne pouvais passer sous silence l'arrivée du premier album de The Dead Weather, que je me suis empressé d'acheter. Une des raisons pour laquelle j'étais si empressé d'acheter ce bijou musical est que le groupe a eu l'admirable initiative de mettre son album entier sur Ilike, permettant au non-connaisseurs de gouter à la soupe mystique qu'est celui-ci. Avec un casting d'enfer, le groupe peut se vanter d'être un des meilleurs groupes de 2009. On retrouve notamment Jack White, papa des White Stripes qui ici pour la première fois cesse de faire la figure de proue, en empoignant ses deux baguettes et en ravageant vos oreilles d'un rythme d'acier, propre et habile. Autre figure connue Alison Mosshart, chanteuse des Kills, un autre groupe qui en vaux le détour, qui livre ici une autre prestation parfaite en tant que guitariste/chanteuse/percussionniste. Et comme si ça ne suffisait pas, Jack Lawrence (The Raconteurs) et Dean Fertita (Queens Of The Stone Age) viennent joindre la troupe. On se retrouve donc devant un casting bien complet de gens qui savent de quoi ils parlent.

Leurs musiques sont habilement composées, à l'image de "Treat me like your mother" véritable combat épique d'instruments et de paroles explosives qui vous arrachera sûrement un pas de danse, et aucunes de celle sur l'album surpasse l'autre, on garde la même qualité sur l'ensemble de l'album, ce qui est assez rare pour être signalé.

Vous l'aurez compris, The Dead Weather est un des groupes qu'ils vous faut écouter, à part si vous êtes hermétique au bon son qui bouge, mais dans ce cas là, je ne peux rien pour vous...