samedi 9 juin 2012

Luther



Estomaqué.

C'est le terme, qui m'est automatiquement venu à l'esprit après avoir visionné la première saison de Luther. Je suis un féru admirateur d'enquêtes policière depuis le plus jeune âge, dévorant des Sherlock Holmes et autre Arsène Lupin, accroché à leur charisme à travers leurs péripéties remplies de tueurs assoiffés et autre maîtres manipulateurs.

Malgré cette familiarité que j'ai avec ces récits policiers, rien ne m'avait préparé à la grande baffe en pleine poire qu'est le détective John Luther. Je citais Sherlock Holmes et Arsène Lupin auparavant, mais la série partage plus de points commun avec les "films noirs" américains. Des personnages crédibles, imprévisibles, des relations entre personnages traité de manière réaliste, une histoire dure, sombre et sans fioritures, mais surtout, une ambiance magistrale, qui ne laisse aucun répit, et qui achève de kidnapper votre attention durant l'intégralité de la série.

La série commence avec Luther face à un tueur pédophile après lequel il semble avoir couru un long moment. La tension est déjà palpable dés les premières secondes, et elle atteint son paroxysme un instant plus tard quand John laisse le tueur tomber à sa mort certaine, du haut du perchoir où les deux hommes se trouvaient. Elipse temporelle, nous voilà après l'affaire, et Luther est un homme morcelé, hanté par son acte, et seul, depuis que Chloé, sa femme, a refait sa vie avec un autre homme, Mark, joué par le génial Paul McGann, bien connu des geek pour avoir joué le Docteur dans le film Doctor Who de 1996.

Chaque épisode, d'une soixantaine de minutes chacun, traite, à chaque fois, d'une affaire différente, hormis le final de la première saison qui se sépare en deux. Pas d'histoires à rallonge, pas de pirouettes scénaristiques alambiquées, juste une affaire avec un début et une fin bien déterminés, et parfois surprenantes, mais jamais tiré par les cheveux, et c'est rare de nos jours.

Je ne peux pas décrire la série plus que je ne l'ai déjà fait sans vous déposséder de précieux instants de cette série qui a changé ma vision de ce que devrait être une enquête policière à la télé, je ne ferais que vous conseiller fortement de vous plonger dans cette expérience endiablée et viscérale qu'est Luther.

Un trailer à l'image de la série, impeccable et empli d'émotion.

mardi 15 mai 2012

Writer's block (fiction)

Bonsoir mes amis ! Alors au menu ce soir, une autre fiction basé sur une musique. Si vous voulez connaitre le concept, je vous amène à lire "you can't quit me baby", ou j'explique l'exercice auquel je vais maintenant m'adonner avec plaisir devant vos petits yeux ébahis. Vous me direz qu'au lieu de parler pour ne rien dire, j'aurais pu expliquer à nouveau le concept, mais que voulez-vous, j'ai tout intérêt à ce que vous lisiez mes autres  écrits, donc voilà.


Lights, camera, crayons !

Verses to Prose n°2 : Writers Block

Trois semaines sans un seul mot sur cette satanée feuille. Sa blancheur m'obsède, autant que mon impuissance face à celle-ci.

Dans ces cas là, je suis comme piégé dans un ascenseur qui monte sans arrêt, mais impossible de savoir à quel étage je vais m'arrêter. Les chiffres défilent, et je suis coincé. Des fois, des personnes montent avec moi, mais j'ai beau essayer de bondir hors de ce cercueil de métal, ils me poussent plus loin dedans encore.

Mon esprit a de plus en plus de mal à se concentrer au fur et à mesure de mon ascension interminable. Je tente désespérément de m'occuper du mieux que je peux, mon âme flotte dans une espèce de monde onirique, fait de super-héros, de monstres, de créatures étranges. Une étincelle, puis plus rien.

La montée n'en fini plus, je suis en train de voler avec Lois Lane, j'oublie un instant ma prison de fer, je fume pour tenter de me laisser aller, mais le seul résultat visible c'est que j'ai embrumé mon carcan, et mon esprit s'enferme sur lui-même, une vraie matriochka métaphysique.

Une femme monte dans l'ascenseur, et la fumée se dissipe. Mon esprit se focalise enfin. J'essaye d'engager la conversation, mais elle descend presque aussitôt, me laissant de nouveau seul.

Mais cette brèche était suffisante, je sens une brise d'air frais me caresser la nuque. Je me lève du sol ou j'étais affalé jusqu'à maintenant. L'ascenseur s'éclaircit, et soudain, je me rends compte que la porte et ouverte. Je m'engouffre par la sortie, et me voilà enfin libre.



mardi 1 mai 2012

Hum...

Je prends juste une photo pour être sûr que ce temps n'étais pas un rêve. Bon premier mai tout le monde !

vendredi 27 avril 2012

Le troll du piratage

Bonjour tout le monde ! *bruits de criquets*
Aujourd'hui un nouveau troll du net, avec comme sujet le piratage sujet d'actualité.

Alors que les choses soient clair. Le piratage est là depuis des lustres. Là où il nous suffit d'un cliq pour se procurer le dernier Justin Bieber, nos parents devaient eux trouver un gugusse peu fréquentable qui leur fournissait des bootlegs.

Avec tout les dispositifs d'anti-piratage, les ACTA, les SOPA, les Hadopi, on pourrait croire que le piratage est un crime horrible, passible d'une peine lourde. Mais comprenons-nous le piratage ?

Il n'y a pas longtemps, mega-upload, grand ami des fans de séries et films en tout genre, a dû fermer suite à des poursuites du FBI. Pour ceux qui se demandent que vient faire le FBI dans cette affaire, c'est parce que c'est l'organisme qui est chargé de s'occuper du respect des copyright, au états-unis et en international.

Le fameux "FBI warning" qu'on peut voir avant les films.

Il s'avère que cette fermeture intempestive n'a pas été traité de manière légale, et ça, c'est un détail sur lequel je vais revenir.

Suite la démocratisation du net, les techniques de piratage se sont vu multiplié considérablement. Et bien sûr, quand il y a du piratage, cela touche le porte-monnaie de quelqu'un, et quand ce genre de chose arrive, la réponse est souvent disproportionnée.
La première excuse de ce que je considère comme une chasse à la sorcière aveugle et surréaliste est donc bien évidemment l'aspect monétaire.

Mettons les choses au clair, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. J'estime que les personnes qui travaillent doivent être payé pour leur labeur, quels qu'ils soient. Par conséquent, si je n'approuve pas des méthodes utilisé pour contrer le piratage, je suis conscient du dégât que j'inflige à mes artistes favoris quand je télécharge leurs chansons, et je comprends les mesures préventives, même si je suis loin de les cautionner.

En effet, une ancienne prof à moi que je respecte énormément, a un jour dit "la culture devrait être gratuite pour ceux qui ne peuvent pas se la payer". Et je suis assez d'accord avec cette idée. En effet, les gens de ma génération utilisent le piratage pour avoir accès à la culture, j'aime me tenir au courant des séries, films et musiques nouvelles, tout en me distrayant. Malheureusement, je n'ai pas les moyens de me procurer les DVD, et autres CD qui coûtent la peau du luc. 

Donc, l'alternative facile devient le piratage. C'est laid, ça n'aide pas les artistes, mais aussi les équipes technique diverse. Oui, parce qu'on nous bassine avec les artistes, les artistes, encore les artistes, mais on a tendance à mettre de côté ceux qu'on oublie tout le temps, car leur métier ne les met pas sous les projecteurs, mais derrière. Je parle des techniciens du sons, des producteurs, des caméra-men, des maquilleurs, des scénaristes et autres agents de sécurité... 

Et ça, les grands chefs, les maisons de disques et autres majors, ça les défrise pas mal. Et donc ils nous balance des lois, en espérant nous effrayer assez pour nous empêcher de leur voler leur précieux sous. Je ne reviendrais pas sur l'aspect totalement anti-démocratique des lois Hadopi, SOPA et ACTA, j'ai déjà abordé  le sujet.

Et donc, en résulte un scission entre les pros et les antis, qui se foutent sur la gueule. Mais ce que ne semble comprendre aucun des deux côtés, c'est que les temps changent en permanence, et qu'il va falloir faire des concessions pour arriver  à quelque chose de constructif. Cependant, une entente est impossible pour l'instant, parce que les deux partis sont en conflit de sourds depuis plusieurs années déjà.

J'essaye de me contrôler un peu, et j'achète les produits que j'apprécie vraiment, quel que soit le support. Je ne peux cependant pas tout acheter avec ma paye modeste.

En tant que pirate occasionnel, je tiens donc à lancer un message pour les entreprises responsables des lois en marche actuellement. Hadopi, SOPA et ACTA dans leur état actuel sont honteusement mal réfléchit, et une entente est toujours possible dans les bonnes conditions. 

lundi 16 avril 2012

You can't quit me baby (fiction)

Bonjour cher lecteur. Tu te retrouve peut-être pour la première fois sur mon étrange blog, et tu te demande où tu as bien pu débarquer. Et bien dis-toi que si ce n'est pas la première fois, tu seras dérouté quand-même, puisque je vais tester un exercice d'écriture qui m'est venu comme ça. Je vais écrire une courte histoire en m'inspirant des paroles d'une chanson. Si je suis satisfait du résultat, je reproduirais l'expérience. Etant donné que la plupart de mes fictions me sont inspirées de près ou de loin par une musique, ça ne devrait pas être trop dur. Maintenant caméra, lumière, son, action !




You can't quit me baby :

Je commence vraiment à croire que c'est une erreur. Je devrais arrêter ce que je fais. Au début, tout me semblait normal. J'étais tout simplement tombé amoureux d'une inconnue.

Je travaillais dans un garage à l'écart de la ville, où les clients se faisaient rare. Puis un jour, tu as débarqué. Tu étais habillé en robe noire, et ta voiture était tombé en panne à une vingtaine de mètres de mon garage. J'ai tout de suite été attiré par toi. Tu m'as fixé de tes yeux bleu azur, que ta frange brune obstruait en partie, et mon coeur a fait un bond. Je suis allé chercher ta voiture, et j'ai faillit plusieurs fois avoir un accident en la remorquant, car mon esprit était obnubilé par ton visage, tes formes subtiles, la façon dont tu me regardais.

Tu m'as remercié rapidement, tu as pris congé, et tu m'as oublié. Mais je ne t'ai pas oublié. J'ai noté ton nom et ton adresse qui étaient sur la carte grise de ton véhicule.

J'ai commencé à traîner devant chez toi dans ma Chevy Camaro grise. J'attendais des heures pour te voir rentrer après ton travail, partir faire des courses...J'imaginais ce que tu faisais pendant tes longues absences, et mes fictions me suivait dans la vie de tous les jours, je ne pensais qu'à toi.
Puis, l'observation est devenu trop peu pour me stimuler. J'ai d'abord commencé à te suivre toi, quand tu allais faire tes courses, quand tu sortais avec tes amis. Puis j'ai suivit tes amis, ta famille, pour continuer à imaginer ta vie de l'extérieur.

Aujourd'hui j'ai suivit tes amis pour la dernière fois. Un d'entre eux avait manifestement compris mon petit manège, et m'a interpellé. Le groupe avec qui il était l'a soutenu dans son questionnement, et j'ai complètement pété les plombs. J'ai saisit mon couteau suisse, et je les ai tous fait taire. Après avoir dissimulé leurs restes, je suis directement venu chez toi. J'ai rampé par ta fenêtre, et me voilà chez toi. J'attends patiemment ton retour sur ton canapé rouge où tu aime t'allonger le soir après ton travail. Je t'attends, je t'aime. Je veux que tu te rende compte quand je ne suis pas là, où que tu soit...



Queens of the Stone Age - You can't quit me baby - 1998

mardi 10 avril 2012

Community


Jeff est un avocat.

Pardon, était un avocat. Jusqu'à ce que l'on se rende compte que sa licence était fausse, et qu'on le force à recommencer la fac. Suite à une tentative de drague sur la belle Britta, il se voit obligé d'inventer un groupe d'étude de l'espagnole de toute pièce, aidé bien malgré lui par Abed, véritable moulin à parole hyperactif. Une fois la supercherie éclaté au grand-jour, il se lie d'amitié avec toute la troupe, et ils finissent par vraiment créer un groupe d'étude.

Alors ce résumé peu sonner un peu cliché, mais justement, il n'en est rien. Pourtant tout pourrait porter à croire que Community est une série banale, mais les jeux de mots sont subtils, les personnages avec des imperfections criantes de vérité, et le décors permet aux scénaristes de se laisser totalement aller.

En effet, la fac, où il est possible de s'inscrire en passant par un guichet de vente à emporter, est ce qu'on appelle au Etats-Unis une "fac communautaire". Le système américain veut que les études soient très coûteuses, à moins de faire appel à ces facs "de seconde zone" où finissent des jeunes et des vieux de tous horizons. Et le résultat est un melting-pot de jeux-de-mots, de gags et de situations ridicules.

Amis rigoleurs, ceci est votre nouvelle série culte. De plus, comme la série est inédite en france, vous pourrez faire partie des premier à contempler cette fiction, qui de plus est facile à suivre, étant donné que chaque épisode ne dure qu'une vingtaine de minutes. N'hésitez plus, et passez un bon moment avec Jeff et toute la clique, vous ne le regretterez pas !






mardi 27 mars 2012

Troll du net en mode Geek.

Amis du soir bonsoir. Comme sur ce blog, nous sommes très politiquement correct, et pour n'oublier personne, amis du jour bonjour.


Aujourd'hui, j'ai envie de parler de jeux-vidéo. Mais comme je trouve cette rubrique assez gentille jusqu'à maintenant, on ne va pas prendre de pincette. C'est le troll du net ici, pas le "gentil geek" du net que diable !


Alors oui, nous allons parler de jeux-vidéos ce soir, mais plus particulièrement des franchises. Vous n'êtes peut-être pas familier avec ce monde merveilleux ou règne la joie et le manque quasi-total de présence féminine.



Pour vous donc, les franchises sont ce qu'on nomme ces séries qui sont là depuis Mathusalem, et qui sortent régulièrement, avec des extensions de titres à dormir debout. Pour un novice qui essaye de se mettre au jeu-vidéo, j'imagine que le choix peut-être difficile, entre Final Fantasy XIII-2 et Tomb Raider, qui en fait est le dixième de la série, mais aussi un reboot de la série.


WTF ? Respirez, chers amis, je vais vous guider un peu.




Je tiens à préciser pour les geeks qui lisent cet article, que je fais un articles pour les gens qui s'y connaissent peu en jeux-vidéo, et que j'essaye donc d'être assez rapide et simple pour ne pas embrouiller les gens. Si j'omet des détails comme la couleur du bonnet de Link, ne venez pas me le rappeler, je m'en tamponne.







Final Fantasy



Alors je commence par le plus populaire, et surtout le plus dense au niveau des sorties.
En effet, je suis sûr que même les fans de la Fantaisie Finale combien il y a de suite, de spin-off ou de ré-éditions de cette franchise plus qu'accomplie.

Final Fantasy est le RPG (Role Playing Game ou -porg pour les idiots) japonais le plus connu en occident. L'anecdote derrière son nom est assez drôle.

Vous voulez l'écouter mes petits ? Installez-vous près du feu, Père Carter va vous raconter.



Tout commence par un employé de Squaresoft, Hironobu Sakaguchi. L'entreprise est à l'époque en difficulté. Sakaguchi décide de s'inspirer de la concurrence (ce que j'appelle la technique de l'américain) le studio de développement Enix. Il créé donc un jeu de rôle, avec une histoire et des vastes territoires à explorer. Le studio, et ça c'est bien un délire japonais, a décidé d'appeler le jeu "Final Fantasy" ce qui littéralement veut dire "la dernière fantaisie". A croire qu'ils étaient tous dans le studio, près à se faire Seppuku pour sauver leur honneur.



La série se base sur un schéma assez simple, on dispose d'un ou plusieurs personnages, qu'on peut enrôler dans son équipe et inter-changer à volonté. On se bat contre des monstres, on



explore les terrain habité et non-habités, et on résout des énigmes.



Final Fantasy est une franchise assez spéciale, dans le sens où chaque volet ou presque (sans compter les spin-offs du 7e) a son propre univers, ses propres personnages, et ses propres amourettes d'ado branchés en petite tenues. Au début de la série, les artworks étaient assez sobres, et les personnages à l'écran, dû à la technologie de l'époque étaient en SD assez sobre
également. Mais suite à l'arrivée de la 3D dans la série, les personnages se sont transformés en manga androgynes, afin de toucher (au sens figuré hein on se calme) les ados pépubères de tout sexes et/ou sexualité.




Exemple:

Final Fantasy - 1987

Premier volet, typo sobre, et personnages traités esthétiquement comme des estampes japonaises, la classe quoi.



Final Fantasy XIII-2 - 2012

Le dernier volet en date. Alors c'est fouillis, ça tente maladroitement de singer les premiers titres, les couleurs sont moches...



Cette franchise souffre des années de remaniements divers qui ont servis et desservis la série. Surtout aux yeux des vieux fans, mais ça, c'est une autre histoire.




Grand Theft Auto



Et voilà, la franchise qui fait trembler toutes les mères du monde entier, grâce à nos amis les médias de la propag... les médias pardon. Alors on change de registre, mais pas de parti pris scénaristique. Pourtant ça marche ! Hem non ne m'agressez pas les fanboys de Final Fantasy, j'ai rien dit, on passe à autre chose.





Donc la structure de la série Grand Theft auto suis le même principe que FF, à savoir chaque épisodes suis sa propre histoire distincte des autres, avec son set de personnages et lieux, si on oublie les spin-offs (qui sont géniaux quand-même).


Alors le principe des jeux est assez basique. On est un gangster, préférablement cupide et violent, et on monte petit à petit les échelons de la pègre. On vole, on casse, on tue, bref une simulation de Scarface en quelque sorte.


A la différence de FF susmentionné (et pan je place de ces mots moi) qui a commencé irréprochablement avec des jeux parfaitement gérés, et a fini avec des épisodes pauvres et creux, Grand Theft Auto a commencé avec des épisodes marginaux, mal programmés (le bouton X pour marcher ????) et boudés par le public, et a fini avec...bah GTA IV, juste le produit multimédia le mieux vendu au monde quoi.



Oui nan je vous rassure, même pour l'époque, c'est incroyablement moche.

Spéciale dédicade à Lazlow, qui travaille sur les radios depuis GTA III et qui a un show radio hilarant, pour les anglophones, ça se passe ici .


Bon, après le début fructueux qui part en eau-de-boudin et le début difficile qui part en vrille totale, passons à la série rockstar qui a connu le haut, comme le très très très très bas.




Tomb Raider




Je tiens à préciser qu'à la base, le personnage principal était censé être un mec, je pense que j'ai même pas à expliquer pourquoi ce n'est plus le cas, je tenais juste à vous faire réfléchir sur le fait que si le personnage principal était un homme, la série n'aurait pas vécu des années aussi difficile, explication.



Vous ne voyez toujours pas pourquoi l'héroïne est si populaire ? Vous êtes sûr ?
Parce que c'est assez explicite là...


Alors le principe de Tomb Raider est plutôt simple. On est la version féminine d'Indiana Jones (je trouve ça drôle de dire ça alors que je n'ai vu aucun des films). On a des flingues, des lunettes de soleil rouge, et on se balade dans des tombeaux, des cryptes, des donjons, etc... Le premier jeu est un bijou....pour piquer une crise de nerf. Alors d'accord, c'est un classique, mais je me rappelle les pétage de plomb que j'ai eu a essayer 40 fois le même saut stupide. Oui, car contrairement à la plupart des jeux de maintenant, quand on saute vers une plateforme surélevée on doit appuyer sur le bouton pour s'accrocher pile-poil au moment où les mains de l'héroïne se rapprochent de ladite plateforme, pas une seconde après, ce qui, si on est au dessus d'un trou rempli de pieux s'avère être plutôt enrageant.


La franchise a eu une vie assez mouvementé, dû en partie au fait que son développeur d'origine, sentant que les joueurs étaient en grande partie de sexe masculin, s'est contenté de répéter la même recette chaque année, en ajoutant des détails sur le mini-short de l'héroïne, ou des bonnets à son sousbard. Heureusement, la série a repris du poil de la bête avec le changement de studio de développement, et prépare actuellement son reboot (c'est la mode en ce moment).



Metal Gear


Alors là, il s'agit de ma franchise préférée, pour le meilleurs, mais surtout pour le pire dernièrement.

Le principe des metal gear est lui aussi assez simple, on est un soldat, la plupart du temps Solid Snake, héros tout de burnes et d'acier. On doit s'infiltrer, généralement seul, dans des décors divers et variés, peuplés de soldats qui vous poursuit au moindre bruit, à part le premier volet,
où les ennemis n'ont pas de cou, et donc, on du mal à vous voir si vous avez le malheur de vous mettre entre la droite ou le milieu de son champ de vision.

Alors pour ce qui est de la survie de la franchise à travers les âges, je vais pratiquer avec vous une minute de silence.


Hem...Donc oui. Au départ, Hideo Kojima-san voulait juste faire UN jeu d'infiltration, inspiré par son amour pour les films de James Bond.

Suite au portage NES du jeu, le studio au rennes du portage décide de faire une suite sans le consulter. Le jeu qu'il font, Metal Gear snake's revenge, est un désastre de game design. Kojima-san décide donc de faire sa propre suite, Metal Gear 2 Solid Snake, qui, à mes yeux, est le meilleur Metal Gear à se jour.

Cela devait s'arrêter là. Puis, un jour, quelqu'un parle à Hideo-sama d'une console capable d'afficher des personnages et des décors poligonés, qui donne une impression de relief. Tout de suite, il imagine de nouvelle façon de raconter une histoire dans un jeu vidéo, et son choix d'univers s'arrête sur sa vieille "franchise". Il devait s'agir une fois de plus, d'un jeu qui se suffisait à lui-même.
Mais là, le succès est tel que Konami, l'éditeur des jeux, a forcé, au fil des années le pauvre Kojima-san a pondre des suites, si bien qu'il s'est totalement lâché au niveau du scénario sur la fin.

Je peux donc dire que les fans ont tué la série. Et ça vient d'un fan.



On a tendance à oublier qu'au départ, c'était ça Metal Gear.



Silent Hill


Maintenant nous passons à une série de survival-horror. Je ne parlerais pas de Resident Evil, car le parcours est similaire à celui de Final Fantasy.


Tout commence par Konami qui espèrent gagner un peu de sous auprès des quelques gens qui étaient fans de la série de Zombie de Capcom. Ils décident donc de monter une équipe de jeunes designers qui créèrent une des séries les plus respecté du milieu, mettant l'accent sur la fragilité des personnages principaux.



En effet, là où le principe de Resident Evil est de mettre le joeur au rennes d'un personnage militaire face à des monstres surpuissants, celui de SH est de mettre le joueur dans la peau d'un monsieur ou madame tout le monde face à des monstres fait sur mesure pour lui inspirer le dégoût et le malaise. Saupoudrez tout ça avec des énigmes et de l'exploration, et vous avez Silent Hill, ville Stephen Kingesque ou il ne fait pas bon vivre.

La franchise a vécu plusieurs années d'épisodes singuliers, artistiquement irréprochable, et effroyablement addictifs, ce jusqu'à ce que l'équipe originale soit remplacé par...des européens. On peut blâmer le changement d'orientation sur beaucoup de chose, mais on peut résumer ça simplement au fait qu'à partir du 4e volet, Konami a décidé de confier la franchise à différent studio qui se sont fait un malin plaisir à massacrer celle-ci à coup de scénarii improbables.



Ce monstre a tête pyramidale est issu de l'imagination de Jack, le héros du deuxième opus, il est donc propre à sa vision de la ville Silencieuse, et personne d'autre n'est censé le voir. C'est pour ça qu'il apparaît dans chaque suite du jeu depuis la sortie du film. Attends, quoi ?




Call of Duty




Alors là je me force à parler de cette série, parce qu'elle est représentative des franchises de First Person Shooters (FPS) et qu'il fallait bien que je parle d'un représentant de ce genre, adulé par tous (c'est la mode).

Call of duty est le bébé d'Infinity Ward, développeurs connus uniquement pour cette série. Au départ simple clone de Medal of Honor (jeu de tir subjectif, avec comme décors la seconde guerre mondiale) cette série a connu le succès commercial massif avec ses dérivés, Modern Warfare.

Le principe est très simple, on s'en doutais, et se résume à : voilà une arme, des balles, lui c'est ton ennemi, tire-lui dessus. Bon c'est vrai qu'il y a une histoire, mais moi, c'est tout ce que j'en retiens.

La franchise a un peu stagné pendant plusieurs années, avant de passer sur consoles dites "HD" et de subir une refonte totale. A force de jongler entre deux studios, la série a perdu un peu de sa superbe, mais comme Activision a décidé de virer le studio qui a créé la série et qui l'a rendu épique et rentable, je suppose que la question ne se pose plus.


"Excusez-moi, je cherche de la subtilité et de la réflexion. Ah, ce n'est pas ici que je vais en trouver ? Merci du conseil, et bonne journée à vous."





Voilà, c'était un aperçu des différents genre de franchises, pour ceux qui vont me dire que je n'ai pas parlé des meilleures séries, blablabla, je tiens à préciser que je me suis concentré sur les franchises qui sont d'actualité, et qui comptent plus de 2 volets déjà sortis.

Ladies and Gentlemen, you just got trolled.

jeudi 22 mars 2012

dimanche 11 mars 2012

Fringe


Wouwiou-ou-i-ouuuuuuu.... Alors pour ceux qui n'ont pas reconnu ma tentative de mimer le générique d'une des séries de science-fiction les plus populaire des années 90, il s'agit d'X-files. Alors pourquoi parle-je d'une autre série que celle cité dans le titre ? C'est très simple.

Je fais partie de la génération X-files, qui a suivit plus d'une fois les péripéties de nos célèbres amis David Duchovny et Gillian Anderson, alias Mulder et Scully. Et je trouve qu'on peut trouver pas mal de points communs aux deux fictions, ce qui me fait considérer Fringe comme le fils spirituel d'X-files.

Mais comme ces ressemblances sont subtiles et évidentes pour toutes personnes ayant regardé les deux séries, je me passerais d'explications pour l'instant.

Fringe narre les pérégrinations d'une sous-division du FBI (ça vous rappelle quelque chose ?) appelé la "Fringe division". Dans cette division ils traitent le bizarre, paranormal, ou juste le hors-norme (toujours pas ?).
Olivia Dunham, fraichement recruté par le chef de la Fringe Division, Philip Broyles, est jeté en plein milieux d'une affaire qui la dépasse totalement. Pour résoudre l'affaire à laquelle elle a été assigné, elle a besoin de l'aide d'un scientifique éminent du nom de Walter Bishop. Seul problème, Walter a été déclaré cliniquement fou, et il est assigné à un asile.

Elle se met donc en recherche de son fils, Peter, afin de négocier la sortie de Walter. Elle est loin de se douter que cette affaire n'est que la partie immergée de l'iceberg massif qu'est le monde de Walter, qui en plus d'avoir quelques cases en moins, se bombarde de drogues psychotropes régulièrement.


Fringe est la quatrième série issue, en partie, de l'imaginaire de J.J. Abrams, père, entre-autre, de séries telles que Alias ou encore Lost. Elle a un rythme assez étrange, où il ne semble y avoir aucune notion de dates, ou le surréalisme règne en maître incontesté. Autant vous le dire tout de suite, cela n'empêche pas la série de prendre des longueurs, d'être prévisible, ou encore d'avoir des détails peu crédible. Pourtant, les bons points comme les mauvais font de cette série une valeur sûre, sans aucune prétention. Il est vrai qu'elle vise un public en particulier, à savoir les fans de série de science-fiction décomplexée, mais cela n'empêche pas les néophytes de s'y essayer, la plupart des épisodes se suffisants à eux-mêmes.


En résumé, une série plus que correcte qui compte à ce jour quatre saisons, qui n'attendent que vos adorables mirettes. Alors si vous vous sentez prêts à rêver de paranormal à nouveau, Fringe est le compagnon idéal pour un bon moment de détente.

vendredi 2 mars 2012

Le retour du troll du net


Hem. Ah vous êtes là ! Et bien bonjour ! Comment va la famille ?
Les enfants, tout ça tout ça ?
Oui je sais, mon premier post de 2012 le 2 mars ? J'ai un peu contredis le slogan de mon blog ces dernier mois, mais pour récompenser l'irakien unijambiste de 82 ans qui est le seul à lire mes inepties, le troll du net et de retour. Et ça va ch**r des bulles carrées, j'vous l'dis moi.


Rispect les gars...


Alors là, on commence direct avec le futur tube de l'été. Cette femme chante son amour pour la Jamaïque, le reggae, et surtout, la drogue. Non mais sérieusement, je sais pas ce qu'elle a pris, mais je veux la même s'il vous plait, avec un zeste de citron.


SOPACTADOPI

Alors pas mal de choses se sont passées depuis la dernière fois que j'ai posté sur ce blog qui est magnifique et que tu vas maintenant lire de fond en comble (je te l'ordonne).

Entre autre, Megaupload a fermé. Si si, Megaupload ! Vous vous rappelez pas ?
" Vous avez regardé 72 minutes de vidéo aujourd'hui, attendez 54 minutes ou upgradez pour un compte premium. "

Alors pour ceux qui ont opté pour la deuxième option, une petite minute de silence...
Aussi, une petite pensée pour l'équipe du site, qui avait misé sur une campagne de pub extravagante, quelque mois avant la fermeture du site, ça a dû leur faire mal au portefeuille.


Non mais sérieusement, le FBI est en mode attaque ces dernier temps, pas question que les européens et les chinois aient le monopole quand il s'agit de contrôler le peuple en manipulant les médias, les états-unis ont quand-même démocratisé le procédé, merde quoi !

Alors comme on veut faire comme le voisin, on manipule un peu une loi pré-existante, on sort une toute nouvelle, histoire de se faire bien plaisir.

Mais voilà, la loi n'a pas été voté, comme ça a l'air d'air d'être une habitude en ce moment, par des personnes élues, mais par des riches qui comme d'habitude, trouvent qu'ils ne sont juste pas assez riche.
Alors, je comprends bien que quand je pirate de la musique, un film, ou une série, je fais du mal à plusieurs personnes, mais faut pas pousser le bouchon trop loin Maurice.

Oui, parce que la majorité des gens justifient ces gentilles lois que sont S.O.P.A. et A.C.T.A. avec cet argument. Mais elles vont plus loin, et visent aussi les gens comme moi, qui font de la promotion gratuite, en interdisant même de PARLER d'un produit copyrighté !

Je ne prends pas parti, puisque je juge que les deux camps ont des arguments valides, mais je vous engage à prêter une réelle attention à ce qu'ils font, ou ont l'intention de faire, car la démocratie ne fonctionne que si on s'y intéresse.

Du skate et de la peinture



Alors, tout le monde connait mon amour pour le skate. J'aime la créativité folle qui émane de cette discipline (si vous ne me croyez pas, regardez Cheese and Crackers, sponsorisé par Almost).
Inutile donc d'expliquer pourquoi cette vidéo m'a marquée, je vous laisse admirer l'ingénieux stratagème.

Le retour des Gorilles



Pour ceux qui, comme moi, passent leur vie sur internet, cette nouvelle vidéo de Gorillaz ne sera pas une surprise. Il semblerait qu'il s'agirait d'une vidéo sponsorisé par Nike, déjà responsable de ce truc. Alors oui, c'est de la promotion tout ce qu'il y a de plus basique, et c'est loin d'être le truc le plus bandant que Gorillaz ai pu pondre ces dernières années, mais les fans peuvent être content de savoir que leur groupe préféré n'est pas mort de honte après le déchet prétentieux qu'était The Fall.


Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, le troll du net reviendra un jour, avec dans son baluchon, tout plein de bonnes choses. D'ici là, trollez bien, et que la force du pingouin mystique de la vérité soit avec vous !

Keep your Troll on.